L’évolution démographique est un enjeu pour les
politiques de logements, les constructions à venir, les choix urbains, les
politiques de la ville et l’aménagement des territoires des prochaines années.
En ce sens, les chiffres que vient de publier l’Institut
National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) devront être
analysés avec attention par l’ensemble des acteurs du marché immobilier :
des pouvoirs publics aux promoteurs qui tendent, ensemble, à façonner le
paysage urbain, mais aussi par les investisseurs privés ayant la capacité et la
volonté de raisonner dans le plus ou moins long terme.
A ce titre, voici une partie des projections de l’INSEE
en date du 7 décembre 2010 :
En résumé, « d’ici
2040, en supposant que les tendances démographiques récentes se maintiennent,
la population de la France augmentera de 15 %.
En métropole, elle
devrait continuer de se concentrer vers le Sud et l’Ouest, à l’inverse de
certaines régions du Nord-Est.
Toutefois, dans les
régions méditerranéennes, le solde migratoire avec les autres régions pourrait
évoluer moins rapidement qu'au cours de la période 1990-2007, contrairement à
l’Auvergne, au Limousin et aux régions du littoral atlantique.
Les migrations
interrégionales façonneront les dynamiques démographiques régionales davantage
que le solde naturel, car le nombre de décès augmentera, avec l’arrivée aux
grands âges des générations du baby-boom.
Elles pourraient
également accentuer le vieillissement de la population dans certaines régions
insulaires et le ralentir en Île-de-France. »
S’agissant de Midi-Pyrénées, cette région pourrait
enregistrer une croissance démographique de 27,9% d’ici 2040. Confirmant ainsi qu’elle
est la région la plus attractive de France avec le Languedoc-Roussillon (qui
connaitrait une croissance de 28,5%).
De fait, 3,596 millions d’habitants résideraient en
Midi-Pyrénées en 2040 contre 2,811 millions en 2007, sachant que la croissance
de la population serait assurée en majeur partie par les migrations ; l’attractivité
de notre région restant toujours l’une des plus importantes de l’Hexagone.
Pour plus d’informations, voir le site de l’INSEE :
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1326
A ce jour, la Haute-Garonne est
un département jeune et dynamique :
Les
analyses de l’INSEE constituent, là encore, une aide précieuse.
En
substance, « la Haute-Garonne, avec
1,1 million d’habitants, dégage des soldes naturel et surtout migratoire
nettement excédentaires.
Les autres départements
de la région sont également attractifs, plus particulièrement l’Ariège, le Lot
et Tarn-et-Garonne. Le solde naturel, en revanche, n’est excédentaire qu’en
Haute-Garonne.
La population de
Midi-Pyrénées est plutôt âgée : 19 % de ses habitants ont 65 ans
ou plus (contre 17 % en France métropolitaine) et 29 % moins de
25 ans (32 %).
Seule la Haute-Garonne a
une population plus jeune qu’en moyenne nationale, les moins de 25 ans y
sont deux fois plus nombreux que les 65 ans ou plus. ».
Plus
d’informations sur le portail de l’INSEE :
http://www.insee.fr/fr/regions/midi-pyrenees/default.asp?page=faitsetchiffres/presentation/presentation.htm
Ces statistiques expliquent que le marché immobilier étudiant
est très porteur en Haute-Garonne, notamment à Toulouse.
Les investisseurs choisissent ainsi souvent la ville rose à la fois pour
se constituer un patrimoine sûr et obtenir une rentabilité immédiate
attractive.
En effet, le dynamisme de la ville, ses pôles d’emplois importants, la
qualité de vie de Toulouse, expliquent que de nombreux étudiants se retrouvent
à Toulouse pour leurs études et aspirent y rester en suivant.
De fait, les petites surfaces en centre ville et autour des campus
étudiants sont, logiquement, recherchés par les investisseurs, parmi lesquels
figurent les parents à la fois soucieux de l’avenir de leurs enfants et souhaitant
placer leur argent dans la pierre pour un rendement immédiat (entre 4,5 % et
6,5% en moyenne selon l’emplacement exact du bien, son état, etc.) et une
valorisation patrimoniale quasi certaine dans le centre ville et fort probable à
proximité des pôles universitaires à plus ou moins court terme.
La demande l’emportant largement sur l’offre, les loyers sont, en effet, particulièrement
rémunérateurs.
Dans ce contexte où il est aisé de louer, de trouver des étudiants dont
les parents se portent cautions, etc. la difficulté réside dans le fait de
dénicher un appartement qualitatif : studio, T1 ou T2 notamment, même si la
colocation peut aussi être envisagée avec des surfaces plus grandes (T3 ou T4).
Pour se faire, recourir à un spécialiste du marché immobilier toulousain
caractérisé par une pénurie d’offre devient souvent nécessaire.
Tel le cas du chasseur immobilier qui conseille et explore la totalité du
marché, de façon objective (puisqu’il n’a pas de bien à vendre, un stock d’appartements à écouler), en fonction du cahier des charges précis de son client.
Pionnière
et leader dans l’activité de chasseur immobilier (ou chasseur d’appartement, ou
encore coach immobilier) à Toulouse, tel est le cas principalement de la Société
DOMICILIUM.
Son
équipe de sept chasseurs immobiliers, et son réseau de partenaires qualifiés, offre
un service sur mesure, personnalisé, en accompagnant leur client acquéreur jusqu'à
la finalisation de leur projet immobilier.
N’étant
rémunérés que s’ils trouvent le bien correspondant aux attentes de leurs clients,
les chasseurs immobiliers de DOMICILIUM mettent tout en œuvre (ne serait-ce qu’en raison de cette logique
économique) pour satisfaire rapidement les particuliers qui leur confient le soin de
trouver l’appartement souhaité au juste prix.
Conseils,
transparence et efficacité semblent résumer leurs prestations immobilières
novatrices.