Toulouse Immobilier

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Mot-clé - chasseurs immobiliers

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dimanche 14 août 2011

Recherche d’un bien immobilier : parcours du combattant pour les acquéreurs ou recours à la solution efficace d’un chasseur immobilier ?

Recherche d’un bien immobilier : parcours du combattant pour les acquéreurs ou recours à la solution efficace d’un chasseur immobilier ?

Vous recherchez un appartement à vendre ou une maison à vendre ?

Si vous avez le temps et beaucoup de courage… la solution peut consister à « éplucher » toutes les annonces que l’on peut trouver dans la jungle Internet, scruter en parallèle les annonces qui paraissent dans la presse (et, dans les deux cas, avoir la capacité et le temps de faire le trie afin d’éviter les visites inutiles, donc en espérant avoir eu les bonnes informations des vendeurs ou agences immobilières), arpenter les rues en espérant trouver la perle rare (le panneau ci-dessous apposé sur la façade d’une maison à le mérite de l’originalité !), etc.

Maison à vendre

En revanche, si vous êtes découragé par des investigations infructueuses, si vous ne pouvez pas matériellement chercher votre futur logement (car vous résidez loin de votre futur domicile ou que votre vie privée et professionnelle s’avère trop dense), si vous aspirez à une aide et des conseils techniques et juridiques (lors de la visite des biens, pour récupérer les diagnostics et documents nécessaires à une vision objective de la maison ou appartement désiré, au moment de sa négociation pour un achat au prix du marché, etc.) des professionnels de l’immobilier, spécialisés dans le service de recherche en immobilier, peuvent prendre en charge votre projet.

Ces spécialistes portent le nom de chasseur immobilier ou encore chasseur d’appartement, coach immobilier, chercheur immobilier, chasseur de bien immobilier, chasseur d’immobilier, etc.

Devant disposer d’une Carte professionnelle délivrée par la Préfecture du département auquel leur Société est rattachée, ils travaillent conformément à la loi Hoguet.

En ce sens, ces chasseurs immobiliers doivent notamment signer un mandat de recherche écrit avec leur client, lequel prévoit leurs conditions de travail, la nature du bien recherché (description permettant d’éviter des recherches non conforme au cahier des charges du client), une durée de recherche limité dans le temps, leurs honoraires (qui peuvent intervenir uniquement lorsque leur mission est remplie, donc au moment ou leur client devient propriétaire le jour de la signature de l’acte de vente chez le notaire), etc.

Les chasseurs immobiliers travaillant dans ce cadre législatif sont, pour la plupart, réunis au sein d’une Fédération : la FFCIFédération Française des Chasseurs Immobiliers.

lundi 6 décembre 2010

Urbanisme : bientôt plus de densité imposée aux promoteurs immobiliers et de clarté en matière de Taxes.

Urbanisme : bientôt plus de densité imposée aux promoteurs immobiliers et de clarté en matière de Taxes.

Deux mesures phares devraient prochainement révolutionner le monde de l'urbanisme, à la fois en imposant aux promoteurs immobiliers le paiement d'une taxe visant à réduire l'étalement urbain, mais aussi en simplifiant les différentes taxes en vigueur en matière d'aménagement pour n'en faire qu'une.

Tout d'abord, dès 2013, la loi pourrait permettre aux élus qui le souhaitent de mettre en vigueur sur leur territoire un versement pour sous-densité (VSD) imputable aux promoteurs immobiliers qui n'atteindraient pas le seuil minimal de densité fixé dans le plan local d'urbanisme (PLU).

La consommation d'espace serait ainsi optimisée, sans pour autant aboutir à la création de barres d'immeubles assure l'association des communautés de France.

En outre, une taxe d'aménagement (TA) pourrait se substituer aux 8 taxes et 9 participations en vigueur (taxe locale d'équipement, taxe départementale des espaces naturels sensibles, etc.).

Mise en œuvre d'office dans les communes dotées d'un plan local d'urbanisme ou d'un plan d'occupation des sols (POS), la TA - partagée entre les communes et les départements - sera assise sur la valeur du mètre carré construit, avec quelques aménagements.

Le paysage réglementaire serait donc considérablement simplifié en matière d'urbanisme. 

Voir l’information en date du 3 décembre 2010 sur le portail des Professionnels Territoriaux : http://www.territorial.fr/  -  Urbanisme : bientôt plus de densité et de clarté.  

A priori, s'agissant de la première mesure, ce serait là une évolution positive, mais en pratique, quel promoteur ne cherche pas déjà à atteindre un seuil... maximal de densité fixé par le PLU dont dépend son futur programme... 

Le manque de foncier étant tel et, de fait, les prix au m2 du foncier non bâti très élevés (notamment dans le centre des villes, comme c'est le cas à TOULOUSE) , d'un seul point de vue de rentabilité économique, les promoteurs sont "obligés de maximiser  ce que leur permet les PLU qui encadrent, souvent, de façon trop restrictive leur projet. 

Densifier plus... chaque promoteur doit certainement être le premier à vouloir souscrire à cette idée pour sa future promotion... encore faut-il que les PLU le leur permettent.  

La vraie problématique aujourd'hui n'est-elle pas la recherche de foncier (les responsables développement des grands groupes de promotions immobilières recourent, du reste, souvent à des chasseurs immobiliers pour satisfaire leurs besoins) et son acquisition à des prix économiquement viable ?



vendredi 19 novembre 2010

La presse en parle : DOMICILIUM chasseur immobilier Toulouse (Haute-Garonne) se développe et s'implante en Gascogne (Agen et Auch).


La presse en parle : CCI de ToulouseNouvelles des Entreprises (numéro à paraître de décembre 2010).

 

Une entreprise innovante et dynamique : DOMICILIUM, Société de chasseurs immobiliers en Haute-Garonne (Toulouse et les villes limitrophes notamment), DOMICILIUM connait une croissance permanente.

Ce service immobilier sur mesure de chasseur immobilier s'implante dans le Gers (Auch et le nord de ce département principalement) et le Lot-et-Garonne (Agen et le sud de ce département essentiellement) avec son antenne DOMICILIUM Gascogne : voir la page presse du site de DOMICILIUM :  http://www.domicilium.fr/chasseur-appartement.php


Votre chasseur immobilier Toulouse : Domicilium

mercredi 17 novembre 2010

Code NAF : agence immobilière ou sociétés de chasseurs immobiliers


Informations pratiques :

La nomenclature des activités françaises, ou code NAF, est l'un des codes Insee.

Il permet la codification de l'APE, c'est-à-dire de l'activité principale exercée dans l'entreprise ou l'association.

Le code NAF est apposé par l’Insee  lors de l'enregistrement des établissements qui lui sont transmis par les Centres de formalités des entreprises (Greffes des tribunaux de commerce, des chambres de l'artisanat et des métiers, Urssaf).

Cette codification concerne les entreprises individuelles, les sociétés commerciales, les professions libérales et autres groupements : associations, GIE, sociétés civiles, junior-entreprises, etc.

Cette nomenclature d’activités française a été instaurée en octobre 1992 et révisée en janvier 2008, date à partir de laquelle le code NAF a vu son format élargi de quatre à cinq positions, pour sa conformité avec la NACE européenne.

S’agissant des agences immobilières il s’agit du Code NAF : 6831 Z (Code APE 703 A).

Ce classement est le même pour les Sociétés de chasseurs immobiliers (ou chasseurs d'appartements).




mardi 9 novembre 2010

Mensuel Capital : un article sur le métier de Chasseur Immobilier... des erreurs à corriger !

Dans un numéro spécial sur l’immobilier du mois de septembre dernier, le mensuel Capital a consacré un article aux chasseurs immobiliers aussi dénommés chasseurs d’appartements, chercheurs de biens immobiliers ou encore coachs immobiliers).


Un certain nombre d’informations sur cette activité relativement nouvelle en France y figure… elles sont à rectifier d’urgence !

Parmi elles :

-       « Si certains descendent à 200000 euros,  mieux vaut disposer d’au moins 300000 euros pour un service sur mesure… ».  Selon les villes, le type de clientèle visé, il va de soit que cette information est erronée.

Ce qui est vrai à PARIS (et encore des nuances existent aussi dans la Capitale entre les différents chasseurs immobiliers) ne l’est pas forcément en province.

Les prix immobiliers pratiqués n’étant pas les mêmes, des recherches autour de 100 000 Euros (voire moins) sont fréquentes en province. Par exemple des investisseurs à la recherche d’un studio, T1 ou T2 (selon les quartiers) pour de la location à des étudiants (ou pour leurs enfants étudiants).

A Toulouse ainsi, la Société DOMICILIUM - chasseur immobilier historique et numéro 1 dans la ville rose et en Haute-Garonne - recherche toutes catégories d’appartements, y compris des petites surfaces dans l’hyper centre ville ou autour des campus notamment.

De la même manière, en première couronne ou deuxième couronne de Toulouse, nombre d’appartement (T3 ou T4) ou de petite maison peuvent se trouver dans des budgets oscillant entre 200 000 Euros et 300 000 Euros.

Là encore, tout dépend du style de bien immobilier souhaité, de l’époque de construction, de sa localisation exacte, de son état général, de son environnement, de la proximité ou non des transports en commun, etc.

 

-       Autre erreur… : « N’attendez pas du chasseur qu’il négocie un rabais avec le vendeur, ce n’est pas son job ». C’est exactement l’inverse.

La connaissance du marché de l’immobilier du chasseur d’appartement, son expertise, ses outils et son expérience font qu’il négocie au mieux les intérêts de son client acquéreur

Du reste, ce savoir faire général - le chasseur immobilier (tout au moins celui qui est détenteur de la Carte T, qui travaille conformément à la Loi Hoguet, avec un mandat de recherche, qui n’est rémunéré qu’à l’accomplissement de sa mission, etc.)  est un professionnel du marché - est une des raisons pour lesquelles les acheteurs recourent à un chasseur immobilier.

Véritable conseil et coach immobilier, celui-ci défend les intérêts de son client dans la globalité de son projet… jusqu’à ce que ce dernier devienne propriétaire.

-       Certains chasseurs demandent des « frais de dossier ». 

Nouvelle (grave) erreur… Toute transaction immobilière via l’intermédiaire d’un professionnel de l’immobilier est régie par la loi Hoguet et son décret d’application.

Or cette législation impose, entre autre, qu’aucune rémunération, de quelque nature que ce soit, ne peut être perçue en dehors des honoraires contractualisés dans un mandat de recherche écrit et dus, uniquement, le jour de la signature de l’acte authentique chez le notaire.

Dans l'intérêt des acquéreurs que le législateur entend logiquement protéger de pratiques abusives, tous frais dits de dossier, de reportage, de visite, etc. sont donc strictement interdits.

Les chasseurs immobiliers membres de la Fédérations Française des Chasseurs immobiliers (FFCI), tel que, à TOULOUSE, la Société DOMICILIUM - chasseur immobilier en Haute-Garonne -, respectent scrupuleusement cette législation.

Domicilium chasseur immobilier Toulouse
FFCI - chasseurs immobiliers


vendredi 5 novembre 2010

Très prisée aux Etats-Unis sous le nom de chasseur de biens ou chasseur d'appartements (flat hunter), l'activité d'un chasseur immobilier consiste à chercher, visiter et trouver le bien immobilier répondant précisément aux besoins de son client acquéreur.

Un chasseur immobilier, ou chasseur d'appartements (ou encore coach immobilier), conseille les acquéreurs quant à leur projet immobilier (faisabilité, écueils possibles, etc.) et, en suivant, effectue à leur placetout le travail de recherche du bien immobilier souhaité (appartement, maison, terrain, local professionnel, etc.) :

  • il prospecte sur le terrain, "épluche" et sélectionne les annonces (sur tous les supports possibles : presse, internet, etc.),
  • il effectue des pré-visites afin de vérifier que le bien correspond vraiment au cahier des charges de son client,
  • il fournit des comptes-rendus de visite qui permettent à l'acheteur d’appréhender de façon cohérente le marché immobilieret de ne visiter que les appartements, maisons (ou tout autre bien immobilier recherché) correspondant à ses attentes,
  • il l'accompagne depuis la négociation jusqu'à la signature de l'acte de vente et, le cas échéant, le met en relation avec des partenaires qualifiés (banque, courtier, architecte, artisan, notaire, etc.).

Manque de temps, éloignement géographique ou le souhait de s'associer un professionnel de l'immobilier sont autant de raisons de faire appel à un chasseur immobilier expérimenté.

A la différence d'une agence immobilière qui s’occupe du vendeur, le chasseur immobilier a pour client l'acquéreur à qui il propose un service sur mesure et lui offre de la sorte :

  • une recherche fastidieuse et des visites inutiles,
  • un gain de temps important en visitant à sa place,
  • une méthode efficace alliant réactivité, connaissance du marché, partenariat avec de nombreux acteurs de celui-ci, neutralité par rapport aux offres et au prix de vente,
  • un savoir faire en terme de négociation,
  • un accompagnement et des conseils jusqu’à la signature de l’acte authentique.

La Loi Hoguet et son décret d’application - qui régissent les professionnels de l’immobilier – concerne, bien sûr, les chasseurs immobiliers.

  • Ainsi, le chasseur immobilier (ou chasseur d’appartements, ou coach immobilier) est détenteur d’une Carte Professionnelle délivrée par la Préfecture où se trouve le siège de sa Société (Carte T),
  • il travaille obligatoirement sur la base d’un mandat de recherche qui contractualise ses droits et obligations ainsi que ceux de son client,
  • il n’a pas le droit d’exiger d’autres honoraires que ceux perçus lors de la signature de l’acte authentique, c’est-à-dire lorsqu’il a accompli sa mission, donc que son client devient propriétaire. Quelle que soient leur appellation : les frais de dossier, de reportage, de recherches, etc. sont, en effet, illégaux.

En France, la FFCI (Fédération Nationale des Chasseurs Immobiliers) réunie les chasseurs immobiliers travaillant conformément à cette législation et à une charte déontologique élaborée dans l’intérêt et la protection des acquéreurs.

A Toulouse et en Haute-Garonne, Domicilium – pionner et leader dans la recherche de biens immobiliers dans la ville rose et le département – satisfait ainsi, depuis plusieurs années, nombre d’acquéreurs.

Domicilium chasseur immobilier Toulouse - chasseur immobilier Haute-Garonne

Fort de ce succès, Domicilium intervient à présent dans le Lot-et-Garonne et le Gers avec Domicilium Gascogne (chasseur immobilier Auch et chasseur immobilier Agen).

chasseur immobilier Toulouse : www.domicilium.fr

 


 

 

jeudi 4 novembre 2010

Des étiquettes énergie pour les annonces immobilières - Logement, aménagement durable et ressources naturelles.

Benoist APPARU, Secrétaire d'Etat chargé du Logement et de l'Urbanisme, a présenté mercredi 27 octobre 2010 les mesures relatives à l’affichage de la performance énergétique dans les annonces immobilières à partir du 1er janvier 2011 et à l’amélioration du diagnostic de performance énergétique (DPE).


La généralisation de l’affichage de la performance énergétique dans les annonces immobilières à partir du 1er janvier 2011 est prévue par la loi du 12 juillet 2010 portant engagement nationale pour l’environnement, dite « Grenelle 2 ».

 

Elle s’inscrit dans la continuité de la convention d’engagements volontaires signée par les professionnels de l’immobilier en mai 2008.

 

Cette mesure vise à améliorer, le plus en amont possible, l’information des acquéreurs (elle facilitera, ainsi, le travail des chasseurs immobiliers fondamentalement au service des acquéreurs) et loueurs de biens immobiliers, de sorte que la performance énergétique du bien devienne un des éléments constitutifs du choix.

 

Elle permettra, en outre :

-       d’amener le propriétaire à faire réaliser un diagnostic de performance énergétique par un professionnel certifié dès l’annonce de la mise en vente et de la location de son bien immobilier, comme le prévoit déjà la loi,

-       d’encourager le locataire potentiel à demander le diagnostic de performance énergétique

-       d’inciter les propriétaires, et les bailleurs à réaliser des travaux d’économie d’énergie

-       de valoriser le bien du propriétaire si celui-ci est performant énergiquement.

 

Cette mesure s’applique aux 600 000 transactions et au million de locations réalisées chaque année.

 

Le décret qui sera publié dans les prochaines semaines précise les modalités concrètes de cet affichage, et ce en fonction du support utilisé.

 

Benoist APPARU a également annoncé un plan en 7 points pour poursuivre l’amélioration du diagnostic de performance énergétique (DPE), qui sera amené à jouer un rôle de plus en plus important dans les décisions d’acquisition ou de location.


Les 7 points du plan :

 

-       affichage du classement du bien dans les annonces immobilières à compter du 1er janvier 2011,

-       mise en place d’une base de données qui permettra l’enregistrement de l’ensemble des diagnostics de performance énergétique et leur évaluation,

-       amélioration des méthodes pour la réalisation des diagnostics et leur utilisation par les diagnostiqueurs,

-       I’intégration d'une explication des écarts entre les consommations d’énergie réelles et les consommations conventionnelles déterminées par le DPE,

-       fiabilisation des compétences des diagnostiqueurs grâce à de nouvelles mesures relatives à la formation, aux examens à passer,

-       amélioration du contrôle des diagnostics effectués,

-       mise en place d’un suivi amélioré des réclamations.




mercredi 3 novembre 2010

Immobilier ancien : les notaires constatent une hausse des prix. Le marché immobilier à Toulouse n’échappe pas à cette règle.

 

Immobilier ancien : les notaires constatent une hausse des prix. Le marché immobilier à Toulouse n’échappe pas à cette règle.

 

Les notaires de France viennent de communiquer leurs chiffres nationaux d'actes de vente notariées du deuxième trimestre (+6,3 % sur l'ensemble du territoire, +8,6 % en Ile-de-France). Ils confirment une hausse des prix significative, tendance qui devrait se prolonger pour 2011.

 

Pour les appartements anciens, «sur trois mois les prix progressent de 2,2% au plan national et de 1,9% en province et, sur un an, de 6,3% au national et de 4,3% en province, cet écart étant dû à la très forte progression en Ile-de-France (+8,6% sur un an) et surtout à Paris (+9,8%)», relèvent les notaires.

 

Certains départements tirent aussi les prix vers le haut, comme les Alpes de Haute-Provence (+22 %), les Vosges (14,5% sur un an), le Gard (11,7%) et la Charente-Maritime (10,4%), ainsi qu'Avignon, Lorient, Marseille, Annecy, Orléans et Dijon.

 

La pénurie de l’offre redoutée par les professionnels fait logiquement pression sur les prix, notamment à Toulouse, comme dans les autres grandes métropoles. L’envolée y frôle les « 10% dans les quartiers les plus recherchés » souligne Pierre BAZAILLE, président de l’Institut Notarial de l’Immobilier.


Mais «le marché est toujours à la baisse dans l'Ain (-10,1 %), dans le Pas-de-Calais (-6,2 %), dans le Doubs et dans le Morbihan (-5,3 %), poursuivent les notaires. Mulhouse est la ville où nous constatons la plus forte baisse (-12,4%) ».

Toulouse centre achat appartement

 






Pour les maisons anciennes, la hausse moyenne en province ressort à 5,5% (5,7% au plan national).

 

Sur Toulouse, les notaires constatent une hausse de 9,2% sur les maisons anciennes, avec un prix moyen constaté de 246.000 euros par transaction.

 

Mais si les niveaux augmentent, ils sont encore loin de ceux d’avant la crise.

 

Ce qui se vérifie au niveau du nombre de transactions : entre 720 000 et 750 000 selon les notaires, contre 800 000 à 840 000 par an au début des années 2000.

 

Dans le neuf, le volume des ventes a grimpé au deuxième trimestre 2010, de 5,7% sur un an pour les appartements, et de 23,3 % pour les maisons, mais le bond de ces dernières s'accompagne d'une baisse de 4,2% de leur prix moyen, à 237.300 euros (selon la Fédération des promoteurs constructeurs), tandis que le prix des appartements neufs a augmenté de 5,4%, à 3.556 euros le mètre carré.


De fait, logiquement, de plus en plus d’acquéreurs recourent à des chasseurs immobiliers pour les conseiller dans un marché immobilier tendu et leur trouver le bien immobilier répondant à leurs attentes.




dimanche 31 octobre 2010

Les quartiers de Toulouse : un vaste et riche secteur immobilier.

Les quartiers de Toulouse, un vaste et riche secteur immobilier.

 

La ville de Toulouse est divisée par la mairie en 17 grands quartiers possédant chacun une mairie de quartier et un maire délégué s'occupant de celui-ci.

Ce découpage administratif de la ville suit le découpage historique de petits quartiers ou d'anciens bourgs ou village comme Saint-Martin-du-Touch. Mais, il ne suit pas le découpage cantonal qui coupe certains quartiers historiques en deux, comme le quartier des Minimes.

 Toulouse centre achat appartement

Quartier n° 1 - 28 665 habitants

Quartier n° 2 - 28 413 habitants

Quartier n° 3 - 35 632 habitants

Quartier n° 4 - 31 985 habitants

Quartier n° 5 - 27 532 habitants

Quartier n° 6 - 19 431 habitants

Quartier n° 7 - 29 824 habitants

Quartier n° 8 - 22 521 habitants

Quartier n° 9 - 31 523 habitants

Quartier n° 10 - 40 267 habitants

Ce quartier est le plus peuplé des 17 grands quartiers qui composent la ville de Toulouse.

Quartier n° 11 - 6 503 habitants

Le quartier n°11 correspond au quartier de la Croix de Pierre et regroupe les secteurs des Oustalous et de Sainte-Cécile. Il est situé au sud de la ville et jouxte la rocade.

Quartier n° 12 - 25 482 habitants

Quartier n° 13 - 12 273 habitants

Quartier n° 14 - 18 855 habitants

Quartier n° 15 - 20 452 habitants

Quartier n° 16 - 32 198 habitants

Quartier n° 17 - 38 547 habitants

Ce quartier est constitué de trois quartiers historiques plus communément appelés le Mirail. Ces quartiers ont été construits au XXe siècle lors des grands projets d'urbanisme de « ville nouvelle ». Le Mirail regroupe les trois quartiers : le Mirail-Université, la Reynerie et Bellefontaine.

 chasseur d'appartements Toulouse

Les agents immobiliers interviennent dans ces différents quartiers pour vendre tous types de biens satisfaisant ainsi leurs clients vendeurs ; les promoteurs et lotisseurs pour y construirent des immeubles ou des maisons répondant, ce faisant, à une offre immobilière souvent insuffisante ; les chasseurs immobiliers pour y chercher des appartements, des maisons, des locaux professionnels, des terrains, des immeubles, etc. et répondre de la sorte aux besoins de leurs clients acquéreurs.

 

 

 

 

 

 

 
 

FFCI - Fédération Française des Chasseurs Immobiliers

FFCI - chasseurs immobiliers

 

 

 

FFCI, première Fédération des Chasseurs Immobiliers

La profession de chasseur immobilier - ou chasseur d’appartement - se développe en France depuis le début des années 2000 autour d’une idée simple : un service sur mesure pour l’acquéreur.

Cette activité novatrice s’est structurée en 2007 au sein de la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers (http://www.federation-chasseurs-immobiliers.com/) qui a une triple vocation vis à vis des acquéreurs, des chasseurs immobiliers, des professionnels et pouvoirs public

VIS-A-VIS DES ACQUEREURS

- La FFCI propose un service sur mesure aux acquéreurs à la recherche d’une résidence principale ou secondaire (appartement ou maison), de locaux professionnels, d’un terrain, d’un immeuble, etc.

« Vous n’avez pas le temps de chercher ou vous n’habitez pas sur place pour trouver votre futur logement ? Pour un achat en toute sérénité, un chasseur immobilier FFCI prend en charge votre projet. »

Représentés sur l’ensemble du territoire, les chasseurs immobiliers FFCI s’engagent :

·      sur une charte éthique et déontologique,

·      une écoute et un accompagnement total des clients,

·      une recherche qualitative et une sélection rigoureuse des biens,

·      le strict respect de la Loi (entre autre : la détention d’une Carte professionnelle et l’absence de frais de dossier).

VIS-A-VIS DES CHASSEURS IMMOBILIERS

- La FFCI réunit la très grande majorité des chasseurs immobiliers exerçant ou souhaitant exercer ce métier dans le respect de la réglementation.
« Parlons d’une seule voix afin de promouvoir efficacement notre profession. »

Présents dans de très nombreuses villes françaises, les adhérents de la FFCI bénéficient :

·      d’un label de qualité et d’un soutien logistique par une mutualisation de moyens humains et financiers,

·      d’une plus grande visibilité et de moyens de communications sur des supports nationaux,

·      d’échanges et des partenariats sur les projets de certains clients,

·      d’une représentativité vis-à-vis des professionnels et des pouvoirs publics.

VIS-A-VIS DES POUVOIRS PUBLICS ET DES PROFESSIONNELS


- La
FFCI représente les chasseurs immobiliers auprès des pouvoirs publics, des syndicats professionnels, des Chambres des notaires, etc. en faisant connaître et reconnaître la profession et en défendant ses intérêts.

- La FFCI est partenaire interactif des professionnels de l’immobilier (agences, Promoteurs, etc.) dans une totale transparence et l’intérêt des clients.

« Dialoguons et collaborons dans le souci de satisfaire nos clients. »

FFCI - chasseur immobilier Toulouse

 

La FFCI est présente à Paris et toute la région parisienne, à Toulouse, Lyon, Rennes, Montpellier, Nantes, Toulon, etc.

 

A Toulouse, le chasseur immobilier FFCI est représentée par la Société Domicilium : http://www.domicilium.fr

 

 

jeudi 28 octobre 2010

Le chasseur immobilier ou chasseur d'appartements et la loi Hoguet

Le chasseur immobilier ou chasseur d’appartement et la loi Hoguet

 

 

Interrogée sur ce point en 2008 par un député, la Ministre de la Justice de l’époque a considéré que les chasseurs immobiliers ou chasseurs d'appartements pouvaient être soumis à la loi Hoguet (Loi n° 70-9 du 2 janvier 1970) et à son décret d’application (Décret n°72-678 du 20 juillet 1972) qui réglementent les conditions d'exercice de l'activité desprofessionnels de l’immobilier (Rep. Min. n° 20525, JOAN Q, 12 août 2008, p. 6987).

 

Il s'agirait du cas où ces chasseurs immobiliers - chasseurs d'appartements se livreraient à titre habituel à des opérations d'entremise énumérées à l'article 1er de la loi précitée, à savoir notamment, des opérations portant sur les biens d'autrui et relatives à l'achat, la vente, l'échange, la location ou sous-location, saisonnière ou non, en nu ou en meublé d'immeubles bâtis ou non bâtis.

 

C’est là une position logique puisque ces chasseurs immobiliers ou chasseurs d'appartements interviennent alors sur le marché de l’immobilier en tant que professionnels de l’immobilier répondant, de fait, à toutes les obligations légales régissant ces professionnels.

 

En effet, la Ministre constate que les chasseurs de biens, en pratique, effectuent le plus souvent leurs recherches auprès des agences immobilières, se rémunèrent par le biais d'un partage de la commission perçue par celles-ci et proposent leurs services pour la négociation du prix et l'assistance dans les démarches d'acquisition (promesses de vente ou d'achat, signature finale).

 

Dans ce cas, ils doivent répondre aux conditions d'exercice imposées par la loi Hoguet, à savoir, notamment : détenir une carte professionnelle et justifier d'une Garantie financière et d'une assurance Responsabilité Civile Professionnelle.

 

En revanche, selon la Ministre, l'activité reste libre si la mission du chasseur de biens est strictement limitée à l'exécution rémunérée directement par son client d'une prestation de recherche d'un bien, cette activité demeure alors hors du champ d'application de la législation.

 

 

Cette analyse est claire… mais pourtant revendiquée par des (pseudos) chasseurs immobiliers pour contourner la loi et, ce faisant, porter préjudice aux professionnels de l’immobilier et aux acquéreurs.

 

En effet, cette interprétation ministérielle laisse la porte ouverte à un exercice de recherche immobilière pas des personnes, dans les faits, incompétentes.

Est-il besoin pourtant de rappeler, à ce sujet, une jurisprudence classique :

« ... Se rend coupable d'exercice des fonctions d'agent immobilier sans carte professionnelle le prévenu "expert évaluateur" qui participe, même de façon occasionnelle ou accessoire, à des opérations portant sur les biens d'autrui et relatives à l'achat ou la vente ou la location-gérance d'immeubles et de fonds de commerce, procède seul à la visite des lieux, et fait office d'intermédiaire lors des opérations de négociation... » (Cour d'appel d'Aix-en-Provence, chambre correctionnelle, 24 janvier 2001).

 

 

Il va de soit que si des prétendues chasseurs de biens immobiliers ne signent pas de mandat de recherche, c’est tout simplement qu’ils n’ont pas la possibilité de le faire car il n’ont pas pu obtenir la Carte T, c’est-à-dire n’ont pas les diplômes et/ou l’expérience nécessaire (exigés par la Loi Hoguet) pour se présenter et agir comme de véritables professionnels de l’immobilier.

 

Ils interviennent néanmoins sur le marché immobilier… générant ainsi une concurrence déloyale envers les chasseurs immobiliers professionnels et au détriment des acquéreurs qui, n’étant pas alors protégés par la Loi, notamment en terme de rémunération, peuvent se faire abuser.

 

En ce sens, ne relevant pas de la loi Hoguet, ces pseudos chasseurs immobiliers ou chasseurs d’appartements facturent des frais de dossiers, de services et/ou frais de reportage avant même d’avoir trouvé (le cas échéant) un bien immobilier…

 

Du reste, quand bien même ne le cherche t-il pas une fois qu’ils sont rentrés informellement en relation avec leur client - il n’existe pas dans ce cas de mandat tel que la Loi l’exige pour les professionnels -, ils perçoivent une rémunération… alors même que la loi Hoguet interdit ce type de rémunération aux professionnels de l’immobilier qui eux, logiquement, ne peuvent prétendre à une commission qu’une fois leur mission remplie, à savoir - conformément au mandat écrit qu’ils ont signé ensemble - le jour où leur client devient propriétaire suite à la signature d’un acte authentique de vente chez le notaire…

 

Ce qui explique, corrélativement, que les chasseurs immobiliers détenteurs de la Carte T, tout au moins ceux qui exercent leur activité dans le strict respect de la Loi (tel est le cas des chasseurs immobiliers membres de la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers -FFCI) n’ont pas recours au frais de dossiers, de services et/ou de reportage précités.

 

Il en va de la protection de l’acquéreur considéré, à juste titre, par le législateur comme un consommateur ne devant pas être abusé.

 chasseur immobilier Haute-Garonne

Voici la question du député :

 

M. André Wojciechowski attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité sur la situation juridique de la profession naissante de chasseur d'appartements.

Cette profession, née de l'augmentation du marché de l'immobilier, ne paraît pas entrer dans le champ de la loi Hoguet qui régit les professions de l'immobilier citées par le texte : agents immobiliers, mandataires en vente de fonds de commerce, administrateurs de biens-gérants ; syndics de copropriétés.

Or le « chasseur » d'appartements » agissant comme un prestataire de services n'intervient pas dans la conclusion de la promesse de vente ou l'acte de vente.

L'acheteur et le vendeur s'accordant directement entre eux après son intervention ; il n'y a pas de commission sur le prix de vente ni d'achat, il n'est pas mandataire car il n'y a pas de mandat pour la recherche de la visite.

Cette nouvelle profession est adaptée à l'évolution du marché et à la recherche de produits rares et souvent de haute gamme.

Elle se surajoute donc en amont des professions de l'immobilier existantes.

Il lui demande si, afin de lui permettre un développement harmonieux, de permettre une meilleure protection des professionnels et des clients potentiels, il ne serait pas souhaitable d'en préciser les termes par des textes adaptés.

 

 

Voici la réponse ministérielle :

 

La garde des sceaux, ministre de la justice, fait connaître à l'honorable parlementaire que si la mission du « chasseur de biens » est strictement limitée à l'exécution rémunérée directement par son mandant d'une prestation de recherche d'un bien, cette activité demeure hors du champ d'application de la loi du 2 janvier 1970 et du décret du 20 juillet 1972.

Néanmoins, la pratique démontre que les chasseurs de biens qui effectuent le plus souvent leurs recherches auprès des agences immobilières se rémunèrent par le biais d'un partage de la commission perçue par celles-ci.

Nombre d'entre eux se font conférer un mandat de recherche par le client et proposent leurs services pour la négociation du prix et l'assistance dans les démarches d'acquisition (promesses de vente ou d'achat, signature finale).

Ainsi, les chasseurs de biens se livrent de fait à l'exercice des activités mentionnées à l'article 1er de la loi du 2 janvier 1970 sans parfois être titulaires de la carte professionnelle et donc sans justifier d'une aptitude professionnelle, d'une garantie financière ou d'une assurance de responsabilité civile professionnelle.

Cette situation est préjudiciable tant aux clients qu'aux agents immobiliers régulièrement inscrits.

Si les chasseurs de biens limitent strictement leur activité à l'exécution de la prestation de service que constitue la recherche d'un bien immobilier, il n'y a pas lieu de réglementer cette activité.

Si en revanche, ils se livrent aux opérations d'entremise mentionnées à l'article 1er de la loi du 2 janvier 1970, ils doivent respecter les dispositions de celle-ci ainsi que celles du décret du 20 juillet 1972. À défaut, ils encourent les sanctions prévues par ces textes.

 

Tracfin, cellule française de lutte anti-blanchiment : un dispositif juridique qui concerne les agents immobiliers et les chasseurs immobiliers.

Tracfin est la cellule française de lutte anti-blanchiment.

Elle dépend des Ministres de l’Économie, de l’industrie et de l’emploi ainsi que du Budget, des comptes publics et de la Fonction publique.


Créé en 1990, à la suite du sommet du G7, Tracfin concourt au développement d’une économie saine en luttant contre les circuits financiers clandestins, le blanchiment d’argent (et toutes ses déclinaisons) et le financement du terrorisme.

 

 

Les personnes concernés :

Le dispositif juridique actuel en vigueur en matière de lutte anti-blanchiment s’applique exclusivement aux professionnels déclarants soumis au code monétaire et financier.

 

Il s’appuie sur le recueil et le traitement de signalements transmis à Tracfin par les professionnels déclarant soumis au mécanisme de la déclaration de soupçon.


La loi ne permet pas le traitement par Tracfin des déclarations transmises par les particuliers ou par un professionnel qui ne serait pas visé par les dispositions du code monétaire et financier.

 

 

Les Missions de Tracfin :

Tracfin n’est pas un service de police ni un service judiciaire chargé de poursuivre les auteurs qui ont commis des infractions relevant du blanchiment et du financement du terrorisme punissables d’une peine privative de liberté.

 

Tracfin est un service administratif de traitement du renseignement financier qui dispose d’une large autonomie et d’une indépendance opérationnelle pour mener à bien ses missions.

 

Le service a pour mission de recueillir, analyser et exploiter tout renseignement propre à établir l’origine ou la destination des sommes ou la nature des opérations ayant fait l’objet d’une déclaration de soupçon  ou d’une information reçue des professionnels déclarants, des organismes publics chargé d’une mission de service public, de l’autorité judiciaire, des juridictions financières, des autorités de contrôle et des cellules de renseignement étrangères.

 

Lorsque ses investigations mettent en évidence des faits susceptibles de relever du blanchiment, Tracfin saisit le procureur de la République par une note d’information, celui-ci est également informé lorsque les investigations conduisent à mettre en évidence un crime ou un délit.      

 

 

Une obligation de vigilance.

Tous les professionnels visés par l'article L. 561-2 du code monétaire et financieront une obligation de vigilance sur leur client ou client occasionnel mais aussi sur le(s) bénéficiaire(s) effectif(s) des opérations dès l’entrée en relation d’affaires, en mettant en place les procédures et mesures adaptées de contrôle interne pour effectuer toutes les diligences nécessaires à des fins d’identification du client sur la base des informations en sa possession ou de tout document écrit probant.

 

Les dispositions du décret n°2009-1087 du 2 septembre 2009 précisent les éléments d’information susceptibles d’être recueillis et nécessaire à la connaissance du client.

 

 

Quelles sont les vigilances que le professionnel doit appliquer ?

Trois types de vigilance peuvent être mise en œuvre par le professionnel selon la nature et le niveau  du risque (client, produit ou transaction) auquel il est confronté et sur lequel il a de bonnes raisons de soupçonner qu’il relève du blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme :    


- Vigilance normale exercée au moment de l’entrée en relation d’affaires porte sur les éléments d’identification du client et sur l’objet et la nature de l’opération envisagée, dans le suivi de la relation d’affaires, elle nécessite d’avoir une connaissance actualisée du client afin d’être en mesure d’évaluer la cohérence des opérations qu’il a effectuées.

La durée de conservation des données relatives au client et aux opérations effectuées, est fixée par la loi à 5 ans.

Immobilier luxe Toulouse 

Dans cette logique d’identification du client, les professionnels de l’immobilier qui signent des mandats de vente (agents immobiliers) ou des mandats de recherche (chasseurs immobiliers) doivent connaître l’identité de leur client : il leur est ainsi vivement recommandé de joindre à leurs mandats la carte d’identité (pour les personnes physiques) ou un extrait Kbis (pour les personnes morales) de leurs mandants.


- Vigilance allégée si le risque est jugé faible dans le suivi de la relation d’affaire, si le client ou produit figure sur la liste de clients ou produits fixée en décret en conseil les dispensant des obligations de vigilance normale susvisée, si le client est un organisme financier établi en France ou dans un pays tiers dont la législation LAB/FT est jugée équivalente.


- Vigilance renforcée si le risque est jugé élevé. Des mesures de vigilance complémentaires doivent être prise si : le client n’est pas physiquement présent aux fins d’identification, la personne est politiquement exposée, le produit ou l’opération favorise l’anonymat, les opérations sont réalisées avec des personnes situées dans un Etat dont la législation ou les pratiques font obstacles à la lutte anti-blanchiment et le financement du terrorisme.

 

 

Comment le professionnel peut-il établir la déclaration de soupçon ?

La loi prévoit l’indication obligatoire dans la déclaration de soupçon des éléments relatifs à l’identification du déclarant, l’identification et la connaissance du client ou du bénéficiaire final  ainsi que des éléments d’analyse du soupçon motivant la déclaration.


Pour les besoins de traitement et d’exploitation de la déclaration de soupçon transmise par le professionnel, Tracfin propose et met à disposition des professionnels un formulaire type destiné à leur faciliter la déclaration.


Dans le cartouche « à propos de l’envoi », les professionnels peuvent indiquer à partir du menu déroulant à quel titre du code monétaire et financier ils effectuent leur déclaration de soupçon

 

Six options leur sont proposées.

Le déclarant  peut, notamment, préciser s’il effectue une déclaration au titre d’une suspicion de fraude fiscale ou encore si les opérations qu’il signale concernent des pays et territoires non coopératifs.

 

Pour mieux accompagner les professionnels dans le respect de leurs obligations déclaratives et de vigilance, Tracfin et les autorités de contrôle (Autorité de contrôle prudentiel et l’Autorité des marchés financiers) ont élaboré conjointement des lignes directrices sur la déclaration de soupçon à l’intention du organismes financiers du secteur bancaire et des assurances ainsi que des sociétés de gestion et des conseillers en investissement financiers soumis à leurs contrôles.



Ces lignes explicitent les textes en vigueur issus de l’ordonnance du 2 janvier 2009 relative à la prévention de l’utilisation du système financier aux fins de blanchiment des capitaux et de financement du terrorisme.

Elles traitent de la détection des anomalies, les diligences à accomplir, les modalités, les délais de déclaration, la confidentialité et la conservation des pièces.

 

Pour plus d’informations, entre autres sur ces lignes directrices, se reporter au site de Tracfin : http://www.tracfin.bercy.gouv.fr

 

 

 

mardi 26 octobre 2010

Chasseur immobilier ou chasseur d'appartements ou encore coach immobilier.... un nouveau métier au service des acquéreurs.

Pour inaugurer ce nouveau blog consacré à l'immobilier à TOULOUSE et en Haute-Garonne quoi de mieux que de débuter par un nouveau métier de l'immobilier, tout au moins une activité qui s'implante durablement depuis quelques années: celle de chasseur immobilier !

En provenance des pays anglo-saxons, notamment des USA, où l’activité de chasseur immobilier existe depuis 25 ans environ, cette profession se développe en France depuis le début des années 2000 autour d’une idée simple : le service de l’acquéreur.

Désormais structurée au sein d’une fédération - la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers -, mise en avant de façon plus anecdotique par la Télévision via, notamment, une émission de la chaine M6 - « Recherche appartement ou maison » -, les chasseurs immobiliers accompagnent ainsi de plus en plus de personnes dans leurs projets immobiliers.

A l’écoute du particulier, le chasseur le conseille de façon objective, cherche pour lui de façon exhaustive sur l’intégralité du marché (vente par les agences, les particuliers, les promoteurs, les notaires, etc.), trouve le bien immobilier répondant précisément à son cahier des charges, le met en relation avec des partenaires qualifiés (banques, notaires, architectes, décorateurs, etc.).

Novatrice en France, cette activité, résolument tournée vers la recherche immobilière, diffère donc de celle d’un agent immobilier dont le rôle premier consiste à commercialiser les biens de son portefeuille clients, à défendre les intérêts du vendeur.

Avec un chasseur immobilier (ou chasseur d’appartements, chercheur immobilier ou encore coach immobilier), la logique traditionnelle est inversée, c’est l’acquéreur qui est au centre de toutes les attentions !

De fait, de plus en plus de personnes recourent aux prestations offertes par un chasseur immobilier : celles qui manquent de temps pour effectuer une recherche immobilière de qualité, celles géographiquement éloignées (salariés mutés, investisseurs étrangers, expatriés de retour en France, personnes désireuses d'acquérir une résidence secondaire...), celles à mobilité réduite et, bien sûr, toutes les personnes appréciant le confort et l'efficacité d'un service immobilier sur mesure, "clé en main".

Constat d’autant plus vrai à l’heure actuelle, dans un contexte de ralentissement du marché, où les particuliers ont toujours besoin de plus de conseils, de services, et cela quelque soit leur recherche : appartement, villa, immeuble, terrain,  fonds de commerce, local professionnel, villa, manoir, ferme, maison de maître, etc.

Il en résulte, logiquement, un accroissement du nombre des chasseurs immobiliers désormais présent sur l’ensemble du territoire.

Grandes ou plus petites, une majorité de villes sont concernées : Paris et l’Ile de France, Marseille, Nantes, Lyon, Bordeaux, Lille, Montpellier... et bien sûr Toulouse.

C’est dans ce contexte qu’est née en 2007 la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers (FFCI), dont la vocation est de représenter institutionnellement ces adhérents auprès des pouvoirs publics, les regroupe et crée entre eux un réseau efficace dans l’intérêt des particuliers puisqu’elle s’assure, notamment, du professionnalisme de ses membres.

FFCI - chasseurs immobiliers

 




Les chasseurs immobiliers membres de la FFCI exercent, en effet, leur métier en conformité avec la Loi Hoguet qui règlemente en France les professions immobilières.

Ainsi, ces chasseurs sont détenteurs d’une Carte Professionnelle délivrée par la Préfecture dont-ils dépendent géographiquement.

Ils travaillent sur la base d’un engagement contractuel écrit, clair et précis : un mandat de recherche qui définit leur mission, leurs obligations et leur rémunération.

A ce sujet, et toujours dans un strict respect de la législation, les chasseurs immobiliers de la FFCI ne perçoivent aucun frais de dossier ou une quelconque autre rémunération avant l’accomplissement total de leur mission.

La seule rémunération d’un chasseur immobilier (un pourcentage du montant de la transaction : selon le projet, souvent entre 2,5% et 5,5 %) intervient, en effet, lors de la signature de l’acte authentique de vente devant le notaire, c’est-à-dire au moment où l’acquéreur devient propriétaire, donc uniquement en cas de réussite finale de la mission confié au chasseur.

Enfin, les chasseurs immobiliers de la FFCI exercent dans le respect d’une charte déontologique qui garantie, entre autres, la neutralité, une information continue, une transparence totale, une confidentialité absolue, une rigueur constante avec les partenaires professionnels de l’immobilier. 

Pour en savoir plus sur ce métier novateur et ses acteurs, voici le site de la FFCI : www.federation-chasseurs-immobiliers.com