Toulouse Immobilier

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lundi 2 avril 2012

Immobilier : le moment d’acheter ? Les tendances du marché (prix au m2 et taux d'intérêt).

Actualité immobilière - Revue de presse :


Dans son édition du 29 mars dernier, le quotidien Direct Matin consacre un numéro à l’immobilier.

Une certaine baisse des prix et des taux d’intérêt semble inviter les potentiels acquéreurs d’appartements ou de maisons à se positionner puisque les conditions du marché y sont favorables.

Cette analyse vaut en général et quand bien même elle mérite d’être légèrement nuancée pour l’hyper centre ville des grandes agglomérations (pour Toulouse en tout état de cause où la rareté de l’offre ne rime pas avec baisse des prix s’agissant des quartiers les plus prisés et pour les biens qualitatifs), elle trouve un écho favorable chez les acheteurs dans la mesure où, plus globalement, le contexte de crise économique (tout au moins d’incertitude financière) incite beaucoup d’entre eux à se réfugier dans la pierre.

C’est là un poncif… mais celui-ci se vérifie bel et bien, notamment chez les investisseurs qui sont de plus en plus nombreux à opter pour des placements immobiliers.

Présentant une série de chiffres, le journal gratuit fait un focus sur Paris et quatre grandes agglomérations : Nantes, Lille, Marseille et Toulouse où, pour chacune de ses villes, un professionnel, spécialiste du marché immobilier local, est interrogé.

C’est le cas pour la Cité des violettes avec Eric MASSAT, chasseur d’appartements de la Société DOMICILIUM Chasseur Immobilier.

Voici l’article : Direct-Matin - 29 mars 2012 - chasseur d'appartement Toulouse - prix de l'immobilier au m2

 

lundi 18 juillet 2011

Gare Toulouse Matabiau : les changements ferroviaires à horizon 2020, des perspectives pour les investisseurs immobiliers


La gare de TOULOUSE Matabiau va connaître, par étapes, au cours des prochaines décennies, de profonds changements.

Au cœur d'une politique des transports volontariste, le Train à Grande Vitesse, notamment, boostera l’économie locale et, autour d'un vaste projet ferroviaire, c’est l’ensemble du quartier Matabiau/Bayard/Marengo qui devrait connaître un renouveau.

Le réaménagement et la modernisation progressive de cette zone urbaine mérite d’être d’ores et déjà au cœur de la réflexion des investisseurs en recherche d'appartements qui peuvent espérer acquérir des biens immobiliers (actuellement moins chers autour de la gare et avec une offre relativement significative par rapport à d’autres quartiers pourtant moins centraux et moins bien desservis par les transports en commun) à ce jour à des prix abordables et parier sur des reventes ou locations intéressantes très probables.


Le journal ToulEco présente cet important chantier à venir dans un article en date du 14 juillet 2011.

Toulouse transport gare


 

 

mardi 14 juin 2011

La colocation a le vent à poupe à TOULOUSE – locataires et bailleurs s’y retrouvent !


Revue de presse :


Présentant une étude réalisée par l’Union des syndicats de l’immobilier en Midi-Pyrénées (Unis), le Journal ToulEco met en perspective le choix, de plus en plus fréquent, de la colocation à Toulouse.

La crise économique et la difficulté d’assumer seul un loyer, des emplois de plus en plus précaires expliquent cette tendance. Au-delà, le nombre toujours plus grand de familles monoparentales d’une part (évolution des mœurs très marquée dans les grandes agglomérations comme Toulouse) et le regard nouveaux porté par les bailleurs sur ce moyen de ce garantir plus aisément des revenus locatif d’autre part (les risques d’impayés sont moins grand) favorisent également la colocation.

De fait, les appartements T3 et T4 sont beaucoup plus recherchés par les locataires que par le passé… mais aussi par les investisseurs qui voient là un moyen de diversifier leur patrimoine tout en obtenant des rentabilités, a minima, aussi intéressantes qu’avec de la location de studio, de T1 ou T2.

L'analyse est consultable dans l'édition du quotidien de l’économie toulousaine en date du 13 juin 2011.


lundi 9 mai 2011

Marché de l'immobilier à Toulouse : des prix au m2 à la hausse... mais "raisonnables"

Marché immobilier toulousain : quel prix au m2 ?


Dans son édition du 9 mai, le journal La Dépêche fait un rapide point sur les prix du marché de l’immobilier à TOULOUSE qui se caractérisent par une certaine stabilité, tout au moins une hausse légère, moins flagrante que dans les autres grandes agglomérations françaises.


Pour en savoir plus sur les prix au m2 « qui peuvent varier quasiment du simple au double en fonction des quartiers et des spécificités des biens proposés à la vente » - avec un état de fait constant : « dans l'ancien comme dans le neuf, la demande est toujours importante et l'offre légèrement en dessous de la demande », d’où la difficulté de trouver un logement -, voir l’intégralité de l'article paru dans l'édition du quotidien La Dépêche en date du 9 mai 2011.


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mardi 15 février 2011

Le marché immobilier toulousain au crible : hausse des prix, difficulté pour se loger, recours fréquent à un chasseur immobilier


Dans son édition du 10 février 2011, ToulEco titre : « Avec +7,7% en 2010, l’immobilier toulousain oublie la crise ».

 

Et de poursuivre cette analyse positive du marché immobilier toulousain de la sorte :

 

« Forte augmentation des ventes, baisse des stocks et hausse des prix en 2010, c’est le tableau de sortie de crise d’une année record pour le marché immobilier toulousain.

 

En 2010, les ventes de logements neufs (6.720) dans l’agglomération toulousaine ont fait un bond de 21%, par rapport à 2009 (5.530). Oubliés les temps de crise et l’année noire 2008 (2.740), le marché de l’immobilier s’est refait une santé, comme dans toutes les grandes métropoles françaises.


En terre toulousaine, il a pu être alimenté par un renforcement très fort des mises en vente.

 

« C’est une année record, constate Alexandra François-Cuxac, présidente de l’Observer de l’immobilier toulousain, qui vient de publier son analyse annuelle des évolutions de la promotion immobilière. C’est le Scellier qui a fait le marché, dans un contexte très favorable pour les taux d’intérêt, toujours très bas. 73% des produits ont été vendus à des investisseurs qui ont profité de l’attractivité de la défiscalisation. Dès cette année, en effet, l’investissement Scellier va changer de nature et sera de moins en moins porteur. »

 

Offre commerciale très faible et prix forts

 

Conséquence, une offre commerciale devenue très faible et qui représente à peine 4 mois de stock. « Le rythme de vente est particulièrement élevé puisqu’il faut moins de 9 mois pour commercialiser une opération », précise la présidente de l’Observer. Autre conséquence d’un marché aussi dynamique, l’inévitable poussée des prix en hausse de 7,7% en un an. Le prix moyen dans la métropole s’affiche à 3.210 euros le mètre carré. Une progression supérieure à la moyenne nationale (6,5%) et bien plus forte que celle de la province (3,9%).


« L’agglomération toulousaine reste cependant à un niveau de prix inférieur à de nombreux grands pôles urbains. Nous occupons la 8ème position derrière nos voisines comme Montpellier (3.591 euros le mètre carré) ou Bordeaux (3.260). Comptez, en moyenne, 116.559 euros pour un studio, 146.336 euros pour un deux pièces, 195.530 euros pour un trois pièces, 248.793 euros pour un quatre pièces et 339.792 euros pour un cinq pièces (hors parking, TVA à 19,6%).

 

Au top des ventes, les T2 et les T3, surtout quand ils sont dans Toulouse ou en première couronne. A noter également, la forte hausse de l’accession à la propriété grâce aux dispositifs de soutien en TVA à 5,5% (+67,8%).

 

Risque de pénurie ?

 

Des prix qui sont alourdis par les normes Bâtiments basse consommation (BBC), obligatoires dès 2012 et qui impactent le coût final à hauteur de 5% environ. « Nous avons réussi à digérer ce surcoût sans freiner l’activité, explique Alexandra François-Cuxac, mais c’est en 2011, quand nous bâtirons uniquement en BBC que nous pourrons apprécier l’impact réel. »

 

« Avec un foncier rare et cher et une offre qui ne sera pas assez renouvelée, Toulouse pourrait connaître une certaine pénurie en 2011 », s’inquiète l’Observer. Le besoin de logements neufs reste très important et les programmes lancés sont déjà commercialisés. Et nombre de nouvelles opérations (Borderouge, Monges, Andromède, Balma ou Saint-Orens) ne verront leurs premières livraisons qu’en 2012 ».


Au-delà des chiffres, c’est ce dernier point - une certaine pénurie de l’offre - qui s’avère être la réalité du marché immobilier toulousain et, de fait, des prix élevés pour les biens qualitatifs, synonyme d’une difficulté pour se loger en centre ville.

L’année 2010 en a été le symptôme… l’année 2011 semble corroborer cet état de fait.

Ce qui explique le recours de plus en plus fréquent, pour les personnes qui n’ont pas le temps de chercher leur futur appartement ou maison, à un chasseur immobilier (ou chasseur d’appartement) qui se consacre, pour eux, aux recherches fastidieuses, les conseille et négocie au mieux leurs intérêts.

De par son ancienneté et son expérience très forte du marché toulousain, l’équipe de chasseurs immobiliers de la Société DOMICILIUM, satisfait toujours plus d’acquéreurs.

Pour plus d'informations sur cette Société pionnière en matière de recherche de biens immobiliers, voir son site http://www.domicilium.fr

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mercredi 29 décembre 2010

Investir dans l’immobilier : la solution du viager


Pour les investisseurs qui n’ont pas le souci, en règle générale, de vivre dans le logement qu’ils acquièrent, le viager peut s’avérer être une solution alternative aux investissements classiques de type studio (pour de la location à des étudiants), appartement T2, T3 ou T4, voire maison (pour de la colocation ou de la location classique à des salariés).

A ce sujet, voici quelques informations générales sur le viager (signifiant temps de vie en vieux français) qui constitue une variante de la vente immobilière.

L'acquéreur (nommé en droit le débirentier) verse périodiquement au vendeur (dénommé le crédirentier) une partie du prix sous forme de rente pendant toute la durée de la vie du vendeur en échange de la nue-propriété, à savoir le droit de disposer du bien à sa guise (et éventuellement de le modifier ou de le détruire) ; le vendeur conservant, le plus souvent, la jouissance du bien immobilier.

Le débirentier (le débiteur de la rente : voir infra) devient ainsi nu-propriétaire du bien vendu en viager et en aura la pleine propriété à la mort du crédirentier, et de son conjoint si la rente est réversible.

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Dans les faits, ce sont souvent des personnes d’un certain âge, à la retraite, qui vendent en viager leur appartement ou maison afin d’obtenir un complément de revenus, tout en conservant le droit de rester vivre dans le bien immobilier mis en vente (l’avenir incertain en matière de retraite, la nécessité de compléter celle-ci explique que des propriétaires recourent à la procédure du viager).

Le prix de la vente dépend donc de la durée de vie du vendeur à partir du moment de la conclusion du contrat. Cette durée, inconnue lors de la conclusion, constitue un aléa (c’est le risque à prendre pour l’investisseur) qui, du reste, s’avère une condition de validité du contrat signé entre les parties.

Lorsque ce contrat de vente intervient (il est rédigé par un notaire puisqu’il s’agit d’une vente immobilière ; voir le site des Notaires de France pour trouver un notaire) le bien immobilier devient la propriété de l'acheteur.

Concrètement, l’achat en viager peut être payé de plusieurs façons : sous forme de bouquet et/ou de rente.

Fréquemment, un bouquet est versé par l’acquéreur au vendeur ; il s’agit d’un montant payé comptant, librement déterminé entre les deux parties.

Parallèlement, une rente est souvent aussi allouée au vendeur. Son montant (acquitté mensuellement, trimestriellement ou annuellement), là encore, est fixé librement entre les parties en fonction de la valeur du bien, de l'âge du crédirentier, de son espérance de vie, etc.

De façon générale, la valeur du logement tient compte de la situation du crédirentier par rapport au logement :

- un viager libre sera plus cher qu'un viager occupé : dans cette hypothèse, la valeur de l'immeuble tient compte des prix pratiqués sur le marché immobilier,

- dans le cadre d'un viager occupé, l'acquéreur ne dispose pas du droit d'habitation. Il n'est que le nu-propriétaire, l'usufruitier (le vendeur) conservant le droit d'habiter.

Les barèmes sont libres mais pour définir le taux de la rente, les tarifs établis par les compagnies d'assurance, la caisse nationale de prévoyance et les notaires sont utiles.

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Quelques précisions :

Celui qui décide de recourir au viager (le crédirentier) ne doit pas être atteint d'une maladie susceptible d’entraîner la mort. S’il décède dans les 20 jours suivant la signature du contrat de vente, celle-ci est annulée.

La rente peut être assise sur une tête ou bien réversible sur une deuxième tête (conjoint, généralement). Dans ce cas, au décès du premier époux, l'acquéreur continuera à payer la rente au second époux.

L'acheteur peut, quant à lui, être une personne physique ou morale (société).

Des garanties financières lui seront généralement demandées (caution ou hypothèque) afin de s'assurer qu'il peut payer régulièrement la rente. La sécurité du paiement des rentes fait, en effet, l’objet de clauses spécifiques dans le contrat.

Le contrat de vente peut contenir des clauses résolutoires en cas de non-paiement : vente annulée, partie des rentes payées gardée par le vendeur en indemnités.

En matière fiscale,les rentes viagères sont soumises à l'impôt dans la catégorie des traitements, salaires et pensions. Seule la fraction correspondant aux intérêts du capital est imposable.

Cette fraction, variant selon l'âge du crédirentier (le vendeur) au moment où il touche la rente, est fixée à :

- 70% si le crédirentier est âgé de moins de 50 ans,

- 50% s'il est âgé de 50 à 59 ans inclus,

- 40% s'il est âgé de 60 à 69 ans inclus,

- 30% s'il est âgé de plus de 69 ans.

Pour les ménages, c’est l'âge de la personne la plus âgée qui sera retenue, y compris après son décès.

Pour plus de précisions, se reporter, notamment, aux articles 1968 et suivants du Code Civil.

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Comment acheter en viager ?

Comme pour toute acquisition immobilière (résidence principale ou résidence secondaire, logement traditionnel ou immobilier de standing) ou les services et conseils d’un chasseur immobilier sont de plus en plus utiles et, de fait, prisés, pour les investisseurs à la recherche d’un appartement ou d’une maison via le viager, recourir à un chasseur immobilier (dénommé également chasseur d’appartement, chasseur de biens, coach immobilier, etc.) permet également de trouver le bon produit, de sécuriser l’achat et, ce faisant, l’investissement envisagé.


jeudi 23 décembre 2010

Toulouse Immobilier, le regard critique de ToulEco sur l'immobilier toulousain


Dans son dernier numéro (du 17 décembre 2010), ToulÉco le Mag, mène une enquête sans concession sur l’immobilier toulousain.

Ce regard critique sur l’immobilier à Toulouse, assez rare, est à signaler !

Toulouse immobilier - défiscalisation, urbanisme, promoteur

La pression démographique couplée à une vision trop souvent à court terme des autorités publiques en matière d’urbanisme, à des promoteurs réagissant aux « effets de mode » (avec pour conséquence, entre autre, la disparition des maisons toulousaines), à des dispositifs de défiscalisation (loi Scellier aujourd’hui) qui répondent aux besoins de rentabilité des promoteurs et des investisseurs mais pas aux attentes de logements de la population, conduit à des programmes régulièrement synonymes de « quartiers lego », de lieux « déshumanisées », d’un habitat qui se « banalise ».

Caractéristique de nos sociétés dites modernes, l’uniformisation architecturale, la standardisation des villes, n’échappent donc pas à TOULOUSE.

Citant le géographe toulousain Jean COPPOLINI : « l’urbanisme, plus qu’un art, plus qu’une technique, est d’abord et avant tout, une politique », la rédaction de ToulÉco le Mag relève que cette affirmation attend toujours confirmation…

Penser autrement l’immobilier devient une nécessité.


mercredi 8 décembre 2010

L’évolution démographique, un enjeu en matière de logement et d’habitat ? Investisseur, comment trouver un appartement à Toulouse ?

L’évolution démographique est un enjeu pour les politiques de logements, les constructions à venir, les choix urbains, les politiques de la ville et l’aménagement des territoires des prochaines années.

 

En ce sens, les chiffres que vient de publier l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) devront être analysés avec attention par l’ensemble des acteurs du marché immobilier : des pouvoirs publics aux promoteurs qui tendent, ensemble, à façonner le paysage urbain, mais aussi par les investisseurs privés ayant la capacité et la volonté de raisonner dans le plus ou moins long terme.

 

A ce titre, voici une partie des projections de l’INSEE en date du 7 décembre 2010 :

 

En résumé, « d’ici 2040, en supposant que les tendances démographiques récentes se maintiennent, la population de la France augmentera de 15 %.

En métropole, elle devrait continuer de se concentrer vers le Sud et l’Ouest, à l’inverse de certaines régions du Nord-Est.

Toutefois, dans les régions méditerranéennes, le solde migratoire avec les autres régions pourrait évoluer moins rapidement qu'au cours de la période 1990-2007, contrairement à l’Auvergne, au Limousin et aux régions du littoral atlantique.

Les migrations interrégionales façonneront les dynamiques démographiques régionales davantage que le solde naturel, car le nombre de décès augmentera, avec l’arrivée aux grands âges des générations du baby-boom.

Elles pourraient également accentuer le vieillissement de la population dans certaines régions insulaires et le ralentir en Île-de-France. »

 

S’agissant de Midi-Pyrénées, cette région pourrait enregistrer une croissance démographique de 27,9% d’ici 2040. Confirmant ainsi qu’elle est la région la plus attractive de France avec le Languedoc-Roussillon (qui connaitrait une croissance de 28,5%).

INSEE statistiques démographique Midi-Pyrénées

 







De fait, 3,596 millions d’habitants résideraient en Midi-Pyrénées en 2040 contre 2,811 millions en 2007, sachant que la croissance de la population serait assurée en majeur partie par les migrations ; l’attractivité de notre région restant toujours l’une des plus importantes de l’Hexagone.

 

Pour plus d’informations, voir le site de l’INSEE :

http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1326

 

A ce jour, la Haute-Garonne est un département jeune et dynamique :

 

Les analyses de l’INSEE constituent, là encore, une aide précieuse.

 

En substance, « la Haute-Garonne, avec 1,1 million d’habitants, dégage des soldes naturel et surtout migratoire nettement excédentaires.

Les autres départements de la région sont également attractifs, plus particulièrement l’Ariège, le Lot et Tarn-et-Garonne. Le solde naturel, en revanche, n’est excédentaire qu’en Haute-Garonne.

La population de Midi-Pyrénées est plutôt âgée : 19 % de ses habitants ont 65 ans ou plus (contre 17 % en France métropolitaine) et 29 % moins de 25 ans (32 %).

Seule la Haute-Garonne a une population plus jeune qu’en moyenne nationale, les moins de 25 ans y sont deux fois plus nombreux que les 65 ans ou plus. ».

 

Plus d’informations sur le portail de l’INSEE :

http://www.insee.fr/fr/regions/midi-pyrenees/default.asp?page=faitsetchiffres/presentation/presentation.htm

 

Ces statistiques expliquent que le marché immobilier étudiant est très porteur en Haute-Garonne, notamment à Toulouse.

 

Les investisseurs choisissent ainsi souvent la ville rose à la fois pour se constituer un patrimoine sûr et obtenir une rentabilité immédiate attractive.

 

En effet, le dynamisme de la ville, ses pôles d’emplois importants, la qualité de vie de Toulouse, expliquent que de nombreux étudiants se retrouvent à Toulouse pour leurs études et aspirent y rester en suivant.

 

De fait, les petites surfaces en centre ville et autour des campus étudiants sont, logiquement, recherchés par les investisseurs, parmi lesquels figurent les parents à la fois soucieux de l’avenir de leurs enfants et souhaitant placer leur argent dans la pierre pour un rendement immédiat (entre 4,5 % et 6,5% en moyenne selon l’emplacement exact du bien, son état, etc.) et une valorisation patrimoniale quasi certaine dans le centre ville et fort probable à proximité des pôles universitaires à plus ou moins court terme.

 

La demande l’emportant largement sur l’offre, les loyers sont, en effet, particulièrement rémunérateurs.

 

Dans ce contexte où il est aisé de louer, de trouver des étudiants dont les parents se portent cautions, etc. la difficulté réside dans le fait de dénicher un appartement qualitatif : studio, T1 ou T2 notamment, même si la colocation peut aussi être envisagée avec des surfaces plus grandes (T3 ou T4).

 

Pour se faire, recourir à un spécialiste du marché immobilier toulousain caractérisé par une pénurie d’offre devient souvent nécessaire.

 

Tel le cas du chasseur immobilier qui conseille et explore la totalité du marché, de façon objective (puisqu’il n’a pas de bien à vendre, un stock d’appartements à écouler), en fonction du cahier des charges précis de son client.

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Pionnière et leader dans l’activité de chasseur immobilier (ou chasseur d’appartement, ou encore coach immobilier) à Toulouse, tel est le cas principalement de la Société DOMICILIUM.

 

Son équipe de sept chasseurs immobiliers, et son réseau de partenaires qualifiés, offre un service sur mesure, personnalisé, en accompagnant leur client acquéreur jusqu'à la finalisation de leur projet immobilier.

chasseur immobilier toulouse, Domicilium votre chasseur immobilier 


N’étant rémunérés que s’ils trouvent le bien correspondant aux attentes de leurs clients, les chasseurs immobiliers de DOMICILIUM mettent tout en œuvre (ne serait-ce qu’en raison de cette logique économique) pour satisfaire rapidement les particuliers qui leur confient le soin de trouver l’appartement souhaité au juste prix.

 

Conseils, transparence et efficacité semblent résumer leurs prestations immobilières novatrices.


mardi 16 novembre 2010

Hausse des prix du marché immobilier toulousain : le chasseur immobilier, une solution efficace pour trouver sereinement et à moindre coût son appartement ou sa maison.


Comme nous vous l’annoncions dans un précédent billet, le marché immobilier toulousain connait une certaine hausse des prix.

Dans son édition du 15 novembre, le quotidien gratuit « 20 minutes Toulouse » le confirme :

« Les ventes et les prix sont en Hausse, pas les surfaces. Le mètre carré a pris 250 € en un an.

Dans le grand Toulouse, le nombre de permis de construire délivrés pour des maisons individuelles est en hausse de 20 % par rapport à l'année dernière et pourrait atteindre les 3 400 d'ici à la fin de l'année. Le Syndicat national des aménageurs lotisseurs (Snal) parle d'un « vrai redémarrage ». Il se fait toutefois au détriment de la dimension des jardins.

A Toulouse et dans sa première couronne, où le foncier disponible est réduit à peau de chagrin, les rares transactions concernent des parcelles inférieures à 500 m2.

En 2e, 3e et 4e couronnes, les surfaces de plus de 1 200 m2 disparaissent et un quart des lots sont inférieurs à 600 m2.

Les investisseurs dominent

Plus globalement, l'immobilier connaît une croissance soutenue.

Les ventes ont déjà augmenté de 28 % cette année, selon la dernière livraison chiffrée de l'Observer de l'Immobilier, un outil statistique mis en place par les promoteurs.

Les prix sont au diapason : le mètre carré a augmenté de 250 euros en moyenne en l'espace d'un an. Et le marché reste très déséquilibré, puisque 71 à 74 % des acquéreurs sont en fait des investisseurs qui font jouer des dispositifs de défiscalisation.

Parallèlement, alors que les conditions d'accès au crédit bancaire restent difficiles, 19 % des acheteurs ne vont pas au bout de leur projet d'achat. »

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Face à cette situation d’un marché tendu où il est difficile, surtout dans l’ancien et le centre ville de Toulouse, de trouver un bien immobilier qualitatif, de nombreux acquéreurs recourent au service d’un chasseur immobilier.

Connaissant parfaitement le marché immobilier et les opportunités que celui-ci peut offrir, le chasseur immobilier (connu aussi sous le nom de chasseur d’appartement, coach immobilier, chercheur de biens immobiliers, flat hunter, chasseur de pierres, etc.) permet à toutes les catégories d’acquéreurs (le chasseur immobilier est fondamentalement du côté acheteur) de mener sereinement leur projet.

Analysé en amont (le chasseur immobilier est un professionnel qui étudie la viabilité de la demande de ses client, les conseille avant d’engager une recherche), tous les projets sont concernés.

Ainsi, les investisseurs à la recherche de petite surface (studio, T1 ou T2) ou d’un immeuble, les primo-accédant qui décident de devenir propriétaires, les personnes en mutation, celle à la recherche d’un bien rare, de prestige (appartement de standing, maison de maître, hôtel particulier), les professionnels (qui n’ont pas le temps de chercher un nouveau local, des bureaux, un fonds de commerce, un droit au bail, etc.), les personnes à la recherche d’une résidence secondaire, etc. choisissent de plus en plus souvent de confier leur projet à un chasseur immobilier.

Son expertise leur fait gagner du temps... et de l'argent.



samedi 13 novembre 2010

Toulouse centre ville : manque de garage ou de parking, le stationnement résidant facilite les possibilités de se garer des riverains.

Toulouse centre : le stationnement résidant facilite les possibilités de se garer des riverains.

 

Outre les parkings publics où des abonnements sont possibles, afin de faciliter le stationnement des riverains à proximité de leur habitation, la ville de Toulouse a décidé, depuis octobre 2005, de mettre en place un système de stationnement résidant.

En effet, le stationnement payant réduit considérablement le stationnement prolongé des voitures durant plusieurs jours ou plusieurs semaines.

Il favorise ainsi la rotation des véhicules et permet, de fait, aux résidants de trouver plus facilement des places dans la journée et le soir, à proximité de leur domicile.

Est considéré comme résidant toute personne pouvant justifier de son adresse dans une rue payante ou sans offre de stationnement.

 

Horaires de stationnement payant

Ces rues sont équipées d’horodateurs. Le stationnement devient donc payant de 9h à 20h tous les jours, sauf les dimanches et jours fériés.

Les rues commerçantes sont ouvertes au tarif résidant après 18h jusqu’à 9h le lendemain matin. En dehors des heures ouvertes au stationnement résidant, le tarif normal de stationnement doit être acquitté.

 

La signalisation

Une signalisation est mise en place dans les quartiers où le stationnement résidant s’applique, notamment via deux types de macarons disposés sur les horodateurs :

- un orange pour les rues à stationnement résidant jour et nuit,

- un rouge pour les rues à stationnement résidant après 18h jusqu’à 9h le lendemain matin.

Un marquage au sol est également réalisé dans les rues à stationnement payant.

Stationnement résidant Toulouse

 

Les formalités pour obtenir la vignette de stationnement résidant 

Tout propriétaire ou locataire d’un logement habitant une rue payante ou sans places de stationnement, pouvant attester de sa qualité de résidant, peut bénéficier du système du stationnement résidant.

Une seule voiture par logement peut bénéficier de la vignette résidant prévue à cet effet.

 Un ticket est inséré dans cette vignette, qui doit être collée sur le pare-brise du véhicule, côté passager.

 

Comment obtenir une vignette ?

Pour attester de sa qualité de résidant, il faut produire une copie des justificatifs suivants :

- du véhicule au nom propre de l’usager et à la bonne adresse,

- dernière taxe d’habitation en 2 volets et sans échéancier (bail ou acte notarié pour les locataires ou propriétaires récemment installés),

- facture EDF-GDF ou Télécom (- de 3 mois).

Ces justificatifs doivent comporter le même nom, prénom et la même adresse.

 

Deux formules d’abonnement au stationnement résidant

1 - Le badge abonnement annuel

Par délibération du 19 décembre 2008, le Conseil Municipal a approuvé la création d’un abonnement annuel à des tarifs plus attractifs pour inciter les résidants à changer leurs habitudes de déplacement.

L’abonnement annuel c’est un badge annuel, un seul badge pour 1 ou 2 véhicules utilisés alternativement.

Sur ce badge sont inscrits :

- le numéro de badge,

- le numéro d’immatriculation du véhicule autorisé ou les 2 numéros d’immatriculation des 2 véhicules autorisés alternativement,

- le quartier résidant

- la date de validité (1 an).

Il existe 2 types de formule d’abonnement annuel :

Pour tous les résidants ayants droit : 135 euros/an, soit 3 mois de stationnement gratuit.

Pour tous les titulaires d’un abonnement annuel Tisséo ou d’un forfait annuel « Actif Midi-Pyrénées » SNCF : 100 euros/an, soit 5 mois de stationnement gratuit.

Pour obtenir ces justificatifs, il convient de se renseignez auprès de :

Tisséo : 7, Esplanade Compans Caffarelli - BP 61 - 31902 Toulouse Cedex 09

Sur le site Internet de Tisséo :  http://www.tisseo.fr/

SNCF : TER Midi-Pyrénées : 0891 677 677

Sur le site Internet TER Midi-Pyrénées : http://www.ter-sncf.com/contactez_nous

 

2 - La Carte Ville avec retrait de ticket (bi)hebdomadaire à l’horodateur :

Pour obtenir la carte Ville de Toulouse et la vignette permettant d’identifier votre véhicule, il vous suffit de faire une demande par écrit en joignant les photocopies des justificatifs auprès de :

Mairie de Toulouse, Service Droits de Stationnement

Opération stationnement résidant

Parking Victor Hugo, 31000 Toulouse

Après examen de la demande, ce service contacte le demandeur par courrier afin qu’il vienne retirer sa carte et son macaron (les pièces justificatives originales sont alors nécessaires).

Comment acquitter le stationnement résidant ?

La carte Ville de Toulouse est remise lors de l’inscription. Elle permet d’être identifié comme résidant par les horodateurs de son quartier et des quartiers limitrophes afin de bénéficier du tarif spécifique.

L’abonnement est renouvelable dès 24 heures avant l’expiration du précédent.

Les tarifs résidants :

4 euros la semaine ou 7,50 euros les 2 semaines.

Le tarif préférentiel est applicable pour toutes les rues concernées à proximité de son domicile et dans les quartiers voisins.

Les moyens de paiement :

Pour bénéficier du tarif résidant, il faut payer son ticket hebdomadaire ou bihebdomadaire dans un horodateur de son quartier. Le paiement peut s’effectuer avec la carte Ville de Toulouse, par pièces ou en combinant les 2.


Toulouse centre ville stationnement résidant

 

Historique des mises en places du stationnement résidant dans les quartiers de Toulouse :

16/10/2006 : passage de 7 rues gratuites en rue payante dans les quartiers existants

27/11/2006 : Passage des quartiers Capitole et Wilson en résidant.

08/01/2007 : Passage de 14 rues gratuites en rues payantes ou sans offre de stationnement dans les quartiers déjà existants.

05/02/2007 : Passage des quartiers La Grave et Les Teinturiers en résidant.

26/02/2007 : Passage du quartier St Aubin en résidant et Passage de 5 rues gratuites en rues payantes dans le quartier Raymond IV.

01/03/2007 : Passage de la section rue de l’Etoile (Carnot – Riquet) sans offre de stationnement.

15/06/2007 : Extension de l’offre 24h/24 : Passage des rues rouges (rues commerçantes) en rues jaunes : dans les quartiers Péri, Belfort, Wilson et St Aubin : Rue Caffarelli, Rue Bachelier, Place Bachelier, Rue Maury (section pl Danloup-Colombette), Bd Carnot (sections Place Roland-Frères Lions et Rempart st Etienne-Rue de Metz).

02/07/2007 : Passage en résidant + tarif marché cristal sur le Bd d’Arcole (section rue de la Concorde – rue de des Chalets : quartier Concorde, section rue des Chalets – Ave H.Serres : quartier Balance, section A.Bernard – Rue Merly : quartier St-Sernin)

10/09/2007 : Passage des quartiers Carmes, Ozenne, Dupuy en résidant + Passage du Bd Lascrosses en résidant (section Lascrosses – A.Bernard).

22/10/2007 : Passage des quartiers Concorde et Balance en résidant.
Constitution des dossiers de demande de statut résidant à partir du 10 septembre 2007 et délivrance des macarons aux résidants à partir du 1 octobre 2007.

Décembre 2007 : Passage des quartiers : Compans, Bazacle, Sebastopol + finalisation de Valade et Capitole + Saint-Aubin ( BD Michelet, Escande et Riquet) + Balance (Ave H.Serres).

 

Outre ce système du stationnement résidant et ce celui des parkings publics, il est aussi possible d’essayer de trouver à proximité de son appartement ou de sa maison un parking, un box ou un garage à la location, voire à l’achat.

Mais ce type de bien est très rare, surtout dans le centre de ville de Toulouse.

Outre les résidants, des investisseurs cherchent régulièrement à acquérir un parking ou un garage dans la mesure où la rentabilité escomptée s’avère souvent intéressante.

Aussi, pour mener sereinement une telle recherche, mieux vaut s’adresser à un spécialiste qui connaît parfaitement le marché immobilier et dont l’activité est de dénicher les biens rares… Tel est le rôle d’un chasseur immobilier.

A Toulouse, qu’il s’agisse d’une recherche pour un particulier résidant ou pour un investisseurDOMICILIUM - chasseur immobilier pionner et leader de la recherche immobilière en Haute-Garonne - vous accompagne efficacement dans votre projet immobilier.

 

 

jeudi 11 novembre 2010

Revue de presse : La Dépêche, ObjectifNews et CT2E dressent un même constat sur le marché immobilier toulousain : pénurie des biens, acquéreurs nombreux, hausse des prix.


Revue de presse :

La Dépêche et ObjectifNews dressent un même constat sur le marché immobilier à Toulouse : pénurie des biens alors que les acquéreurs (notamment les investisseurs) sont toujours plus nombreux et hausse des prix corrélative (immobilier neuf ou immobilier ancien).

Dans une interview à la chaine CT2E (chaine toulousaine et européenne), DOMICILIUMchasseur immobilier à Toulouse – confirme cette tendance du marché immobilier toulousain.


La Dépêche (édition du 11 novembre 2011) :

La hausse des prix se confirme dans le neuf comme dans l'ancien, surtout au centre et dans la proche périphérie. Cela ne décourage pas les investisseurs qui représentent 74 % des acheteurs.

Le prix du mètre carré dans le neuf à Toulouse et en périphérie a augmenté de 259 €/m2 en un an. En ce moment il se situe autour de 3 260 €/m2 habitable, hors stationnement, contre 3 010 €/m2 à la même période en 2009.

C'est une moyenne, car dans certains quartiers toulousains et sur certains programmes très standing, style le Grand Hôtel rue de Metz, le prix du mètre carré a atteint et dépassé les 6 000 €/m2!

Les prix sont en « légère progression » commente Alexandra François-Cuxac, présidente de l'Observatoire de la FPI (fédération des promoteurs immobiliers). Mais sur l'achat d'un appartement de 80 m2 par exemple, cette hausse de 259 €/m2 fait une grosse différence : plus de 20 000 € d'écart… soit 13 « briques » de nos vieux francs ou encore le prix d'une jolie citadine neuve.

Les relevés 2010 confirment donc ce que l'on redoute depuis le début de l'année, la flambée des prix dans l'immobilier neuf. Pour expliquer cette hausse, les promoteurs avancent plusieurs arguments. D'abord, le foncier est de plus en plus rare et de plus en plus cher. Puis, le volume des logements produits est inférieur à la demande. « L'offre commerciale recule depuis sept trimestres. On arrive à produire 7 000 logements par an, alors que le besoin est de 14 000 ».

Cette conjoncture ne va pas dans le sens d'une baisse des prix.

28 % de ventes en plus

Par ailleurs, incités par les dispositifs Sellier, les taux d'intérêt réduits ou encore le Pass foncier, les acheteurs se sont précipités pour acheter avant décembre. Le niveau des ventes qui s'est accéléré en 2010 partout en France (+17%) a carrément explosé à Toulouse : +28 % de transactions sur les trois premiers trimestres par rapport à la même période 2009. « Ici le marché est très dynamique.

Malheureusement les mises en vente sont 25 % inférieures à la demande. Nous manquons de foncier, et les permis de construire sont de plus en plus longs et complexes à obtenir en raison des réglementations très strictes, comme les nouvelles normes thermiques » explique Alexandra François-Cuxac.

Cette conjoncture tendue favorise les investisseurs au détriment des autres acquéreurs, qui se heurtent au durcissement des banques. 18 % des particuliers n'arrivent pas au bout de leur projet faute d'avoir obtenu leur prêt. ici les investisseurs représentent 74 % des acheteurs, ce qui place Toulouse au 6e rang des villes les plus recherchées pour les placements fonciers.

Maison individuelle : + 20 % de permis

À Toulouse et dans la première couronne, les terrains à bâtir sont de plus en plus rares. « Leur nombre est devenu totalement insignifiant. L'effet de la rareté laisse présager une reprise des hausses » observe le SNAL (syndicat des aménageurs et lotisseurs). Il n'y a quasiment plus de terrains disponibles. Conséquence, les prix ont encore augmenté de 10 % au premier semestre 2010.

À Toulouse et dans les communes proches, les terrains mesurent en moyenne 500 m2. Pour trouver plus grand et moins cher il faut accepter de s'éloigner. Actuellement un terrain situé dans la 2e couronne (exemple à Bruguières, Lèguevin, Quint-Fonsegrives…) coûte 116 000€. En allant beaucoup plus loin (4e et 5e couronne) on peut trouver des lots à 50 000 €.

D'après les promoteurs constructeurs, le secteur de la maison individuelle connaît une véritable embellie depuis le début de l'année. Le nombre de permis de construire délivrés est de 20 % supérieur à celui de l'année dernière.

Le chiffre : 19 %

désistements > à l'achat. En 2010, près d'un acquéreur sur cinq s'est désisté avant l'acte définitif. La plupart du temps, la raison invoquée est le refus du prêt bancaire.


ObjectifNews (édition du 10 novembre 2010) :

L’Observatoire de l’immobilier toulousain (ObserveR) a livré les grandes tendances du marché pour 2010 au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue mercredi 10 novembre. Si les ventes repartent à la hausse, les chiffres montrent néanmoins que l’offre baisse à cause d’une demande toujours soutenue.

Si les mises en vente de logements ont connu en 2010 une augmentation de 17 %, la présidente de l'ObserveR Alexandra François-Cuxac observe que « l’offre commerciale baisse, car la demande reste soutenue ». Le nombre de mises en ventes est ainsi inférieur de 25 % aux ventes. Conséquence : le stock ne représente plus que 5,4 mois de vente, ce qui contribue à maintenir des prix élevés, avec une légère progression de 3.946 € à 4.082 euros le m2 au cours des trois derniers trimestres. Une analyse différente de celle de Philippe Poilleux, président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers (anciennement FPC), qui en octobre dernier estimait que le faible stock de ventes incarnait « une règle du "ni trop ni pas assez" qui permet d’avoir un marché sain et stable ».

Sur le secteur des maisons individuelles, François Rieussec du Syndicat national des aménageurs lotisseurs (SNAL) observe une croissance de 20 % du marché par rapport à 2009, pour atteindre 1.420 permis de construire délivrés sur les cinq derniers mois. Si le volume des ventes a repris, les mises en vente ont ici aussi connu « une réduction de 30 %, par anticipation du schéma de cohérence territoriale (SCOT) qui marque un frein à l’accession individuelle ». Le stock de ventes a baissé de 20 % pour atteindre 7 à 8 mois.

L’année 2010 a de plus vu un « resserrement » des prix moyens des transactions entre couronnes urbaines. Au-delà du centre de Toulouse, la deuxième couronne oscille entre 110.000 et 116.000 €, la troisième couronne est en moyenne à 111.000 €, puis 90.000 € en quatrième couronne, et au niveau de L’Isle-Jourdain et de Carbonne, « le prix tombe à 50.000 € car les gens n’ont pas envie d’aller aussi loin ». Selon les chiffres du SNAL, les lots d’une valeur inférieure à 90.000 € constituaient 45 % des ventes au premier semestre 2010, mais sont redescendus à 38 % de l’offre. La majorité des surfaces en première couronne sont inférieures à 500 m2, tandis qu’au-delà elles dépassent les 900 m2.

Maryse Prat, de l’Union Sociale de l’Habitat (USH), note que 2.001 logements ont été livrés au 31 octobre, dont 75,5 % sont des logements sociaux familiaux, le reste se partageant entre logements très sociaux (PLAI) et intermédiaires (PLS). A noter, l’émergence d’une accession sociale à la propriété, avec 5 % des livraisons en 2010. Autre problématique, « il faudra prendre en compte le vieillissement de la population, souligne Maryse Prat.

 Aujourd’hui, 20 % de la population de Haute-Garonne a plus de 65 ans », et il faut pouvoir leur proposer des logements grands et bien desservis par les transports. A l’USH, ils sont ainsi « 800.000 demandeurs, dont 12 % sont en situation de précarité ». « L’équation est difficile à résoudre, conclut Maryse Prat, pour cela nous aurons besoin du soutien des délégataires, des communes et de l’Etat ».

« Les politiques mises en place depuis cinq ans n’ont pas permis de répondre à la demande croissante de nos concitoyens pour augmenter le volume des ventes », fustige de son côté François Rieussec. A ses côtés, Alexandra François-Cuxac renchérit : « Il faut accélérer les dossiers d’instruction et le montage des projets ». Les professionnels déplorent également le durcissement de la législation, certaines zones étant d’intérêt archéologique ou inondables, comme les berges de Garonne. « Mais on devrait assister à un renouvellement de l’offre foncière en ZAC dès l’an prochain », tempère Alexandra François-Cuxac.


CT2E (chaine toulousaine et européenne) :

Spécialiste de la recherche d’appartements et de maisons à Toulouse et en Haute-Garonne pour les acquéreurs en manquent de temps, n’habitant pas sur place ou soucieux d’un service immobilier de qualité (particuliers, professionnels ou investisseurs), DOMICILIUMchasseur immobilier à Toulouse – corrobore ces analyses : www.ct2e.com/down/domicilium.wmv

 

 

mardi 9 novembre 2010

Mensuel Capital : un article sur le métier de Chasseur Immobilier... des erreurs à corriger !

Dans un numéro spécial sur l’immobilier du mois de septembre dernier, le mensuel Capital a consacré un article aux chasseurs immobiliers aussi dénommés chasseurs d’appartements, chercheurs de biens immobiliers ou encore coachs immobiliers).


Un certain nombre d’informations sur cette activité relativement nouvelle en France y figure… elles sont à rectifier d’urgence !

Parmi elles :

-       « Si certains descendent à 200000 euros,  mieux vaut disposer d’au moins 300000 euros pour un service sur mesure… ».  Selon les villes, le type de clientèle visé, il va de soit que cette information est erronée.

Ce qui est vrai à PARIS (et encore des nuances existent aussi dans la Capitale entre les différents chasseurs immobiliers) ne l’est pas forcément en province.

Les prix immobiliers pratiqués n’étant pas les mêmes, des recherches autour de 100 000 Euros (voire moins) sont fréquentes en province. Par exemple des investisseurs à la recherche d’un studio, T1 ou T2 (selon les quartiers) pour de la location à des étudiants (ou pour leurs enfants étudiants).

A Toulouse ainsi, la Société DOMICILIUM - chasseur immobilier historique et numéro 1 dans la ville rose et en Haute-Garonne - recherche toutes catégories d’appartements, y compris des petites surfaces dans l’hyper centre ville ou autour des campus notamment.

De la même manière, en première couronne ou deuxième couronne de Toulouse, nombre d’appartement (T3 ou T4) ou de petite maison peuvent se trouver dans des budgets oscillant entre 200 000 Euros et 300 000 Euros.

Là encore, tout dépend du style de bien immobilier souhaité, de l’époque de construction, de sa localisation exacte, de son état général, de son environnement, de la proximité ou non des transports en commun, etc.

 

-       Autre erreur… : « N’attendez pas du chasseur qu’il négocie un rabais avec le vendeur, ce n’est pas son job ». C’est exactement l’inverse.

La connaissance du marché de l’immobilier du chasseur d’appartement, son expertise, ses outils et son expérience font qu’il négocie au mieux les intérêts de son client acquéreur

Du reste, ce savoir faire général - le chasseur immobilier (tout au moins celui qui est détenteur de la Carte T, qui travaille conformément à la Loi Hoguet, avec un mandat de recherche, qui n’est rémunéré qu’à l’accomplissement de sa mission, etc.)  est un professionnel du marché - est une des raisons pour lesquelles les acheteurs recourent à un chasseur immobilier.

Véritable conseil et coach immobilier, celui-ci défend les intérêts de son client dans la globalité de son projet… jusqu’à ce que ce dernier devienne propriétaire.

-       Certains chasseurs demandent des « frais de dossier ». 

Nouvelle (grave) erreur… Toute transaction immobilière via l’intermédiaire d’un professionnel de l’immobilier est régie par la loi Hoguet et son décret d’application.

Or cette législation impose, entre autre, qu’aucune rémunération, de quelque nature que ce soit, ne peut être perçue en dehors des honoraires contractualisés dans un mandat de recherche écrit et dus, uniquement, le jour de la signature de l’acte authentique chez le notaire.

Dans l'intérêt des acquéreurs que le législateur entend logiquement protéger de pratiques abusives, tous frais dits de dossier, de reportage, de visite, etc. sont donc strictement interdits.

Les chasseurs immobiliers membres de la Fédérations Française des Chasseurs immobiliers (FFCI), tel que, à TOULOUSE, la Société DOMICILIUM - chasseur immobilier en Haute-Garonne -, respectent scrupuleusement cette législation.

Domicilium chasseur immobilier Toulouse
FFCI - chasseurs immobiliers