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dimanche 14 août 2011

Recherche d’un bien immobilier : parcours du combattant pour les acquéreurs ou recours à la solution efficace d’un chasseur immobilier ?

Recherche d’un bien immobilier : parcours du combattant pour les acquéreurs ou recours à la solution efficace d’un chasseur immobilier ?

Vous recherchez un appartement à vendre ou une maison à vendre ?

Si vous avez le temps et beaucoup de courage… la solution peut consister à « éplucher » toutes les annonces que l’on peut trouver dans la jungle Internet, scruter en parallèle les annonces qui paraissent dans la presse (et, dans les deux cas, avoir la capacité et le temps de faire le trie afin d’éviter les visites inutiles, donc en espérant avoir eu les bonnes informations des vendeurs ou agences immobilières), arpenter les rues en espérant trouver la perle rare (le panneau ci-dessous apposé sur la façade d’une maison à le mérite de l’originalité !), etc.

Maison à vendre

En revanche, si vous êtes découragé par des investigations infructueuses, si vous ne pouvez pas matériellement chercher votre futur logement (car vous résidez loin de votre futur domicile ou que votre vie privée et professionnelle s’avère trop dense), si vous aspirez à une aide et des conseils techniques et juridiques (lors de la visite des biens, pour récupérer les diagnostics et documents nécessaires à une vision objective de la maison ou appartement désiré, au moment de sa négociation pour un achat au prix du marché, etc.) des professionnels de l’immobilier, spécialisés dans le service de recherche en immobilier, peuvent prendre en charge votre projet.

Ces spécialistes portent le nom de chasseur immobilier ou encore chasseur d’appartement, coach immobilier, chercheur immobilier, chasseur de bien immobilier, chasseur d’immobilier, etc.

Devant disposer d’une Carte professionnelle délivrée par la Préfecture du département auquel leur Société est rattachée, ils travaillent conformément à la loi Hoguet.

En ce sens, ces chasseurs immobiliers doivent notamment signer un mandat de recherche écrit avec leur client, lequel prévoit leurs conditions de travail, la nature du bien recherché (description permettant d’éviter des recherches non conforme au cahier des charges du client), une durée de recherche limité dans le temps, leurs honoraires (qui peuvent intervenir uniquement lorsque leur mission est remplie, donc au moment ou leur client devient propriétaire le jour de la signature de l’acte de vente chez le notaire), etc.

Les chasseurs immobiliers travaillant dans ce cadre législatif sont, pour la plupart, réunis au sein d’une Fédération : la FFCIFédération Française des Chasseurs Immobiliers.

vendredi 4 février 2011

"L’Essentiel de l’Immobilier », n°1 du Conseil immobilier, présente le métier de chasseur immobilier


Revue de presse :

Dans son dernier numéro (trimestriel de janvier/février/mars), « L’Essentiel de l’Immobilier », n°1 du Conseil immobilier, présente le métier de chasseur immobilier.


Quelques points importants :

-       un métier encadré par la Loi Hoguet,

-       une activité de recherche de biens immobiliers nécessitant la Carte T (Carte professionnelle délivrée par les Préfectures),

-       la signature d’un mandat de recherche écrit pour chercher un appartement, une maison, un local professionnel, un immeuble, un terrain ou tout autre type de bien immobilier,

-       une interdiction formelle d’encaisser des frais de quelque nature que ce soit avant la réalisation de la mission (le chasseur immobilier est rémunéré le jour de la signature de l’acte authentique de vente chez le notaire, lorsque son client devient propriétaire).


L’essentiel de l’immobilier met en avant la Fédération Française des Chasseurs Immobilier (FFCI) dont les membres (quelque soit leur dénomination : chasseur d’appartement, coach immobilier, chercheur de biens, chercheur immobilier, etc.) adhérent à une charte déontologique respectant scrupuleusement la législation précitée, etc.


Répartis dans toute la France, les chasseurs immobiliers FFCI sont représentés sur l’ensemble du territoire.


"L’Essentiel de l’immobilier" répertorie les principaux chasseurs immobiliers dans chaque grande ville.


A Toulouse et en Haute-Garonne, il s’agit de la Société DOMICILIUM : chasseur immobilier Toulouse dont son gérant est, du reste, le secrétaire national de la FFCI.


Pour en savoir plus, voir l’article de « L’essentiel de l’Immobilier » : L'Essentiel de l'Immobilier - Chasseur Immobilier - FFCI - Domicilium

FFCI  FFCI - chasseur immobilier Toulouse chasseur immobilier Toulouse : www.domicilium.fr

mardi 9 novembre 2010

Mensuel Capital : un article sur le métier de Chasseur Immobilier... des erreurs à corriger !

Dans un numéro spécial sur l’immobilier du mois de septembre dernier, le mensuel Capital a consacré un article aux chasseurs immobiliers aussi dénommés chasseurs d’appartements, chercheurs de biens immobiliers ou encore coachs immobiliers).


Un certain nombre d’informations sur cette activité relativement nouvelle en France y figure… elles sont à rectifier d’urgence !

Parmi elles :

-       « Si certains descendent à 200000 euros,  mieux vaut disposer d’au moins 300000 euros pour un service sur mesure… ».  Selon les villes, le type de clientèle visé, il va de soit que cette information est erronée.

Ce qui est vrai à PARIS (et encore des nuances existent aussi dans la Capitale entre les différents chasseurs immobiliers) ne l’est pas forcément en province.

Les prix immobiliers pratiqués n’étant pas les mêmes, des recherches autour de 100 000 Euros (voire moins) sont fréquentes en province. Par exemple des investisseurs à la recherche d’un studio, T1 ou T2 (selon les quartiers) pour de la location à des étudiants (ou pour leurs enfants étudiants).

A Toulouse ainsi, la Société DOMICILIUM - chasseur immobilier historique et numéro 1 dans la ville rose et en Haute-Garonne - recherche toutes catégories d’appartements, y compris des petites surfaces dans l’hyper centre ville ou autour des campus notamment.

De la même manière, en première couronne ou deuxième couronne de Toulouse, nombre d’appartement (T3 ou T4) ou de petite maison peuvent se trouver dans des budgets oscillant entre 200 000 Euros et 300 000 Euros.

Là encore, tout dépend du style de bien immobilier souhaité, de l’époque de construction, de sa localisation exacte, de son état général, de son environnement, de la proximité ou non des transports en commun, etc.

 

-       Autre erreur… : « N’attendez pas du chasseur qu’il négocie un rabais avec le vendeur, ce n’est pas son job ». C’est exactement l’inverse.

La connaissance du marché de l’immobilier du chasseur d’appartement, son expertise, ses outils et son expérience font qu’il négocie au mieux les intérêts de son client acquéreur

Du reste, ce savoir faire général - le chasseur immobilier (tout au moins celui qui est détenteur de la Carte T, qui travaille conformément à la Loi Hoguet, avec un mandat de recherche, qui n’est rémunéré qu’à l’accomplissement de sa mission, etc.)  est un professionnel du marché - est une des raisons pour lesquelles les acheteurs recourent à un chasseur immobilier.

Véritable conseil et coach immobilier, celui-ci défend les intérêts de son client dans la globalité de son projet… jusqu’à ce que ce dernier devienne propriétaire.

-       Certains chasseurs demandent des « frais de dossier ». 

Nouvelle (grave) erreur… Toute transaction immobilière via l’intermédiaire d’un professionnel de l’immobilier est régie par la loi Hoguet et son décret d’application.

Or cette législation impose, entre autre, qu’aucune rémunération, de quelque nature que ce soit, ne peut être perçue en dehors des honoraires contractualisés dans un mandat de recherche écrit et dus, uniquement, le jour de la signature de l’acte authentique chez le notaire.

Dans l'intérêt des acquéreurs que le législateur entend logiquement protéger de pratiques abusives, tous frais dits de dossier, de reportage, de visite, etc. sont donc strictement interdits.

Les chasseurs immobiliers membres de la Fédérations Française des Chasseurs immobiliers (FFCI), tel que, à TOULOUSE, la Société DOMICILIUM - chasseur immobilier en Haute-Garonne -, respectent scrupuleusement cette législation.

Domicilium chasseur immobilier Toulouse
FFCI - chasseurs immobiliers


lundi 8 novembre 2010

L’agent immobilier et le mandat de vente – la nullité du mandat entraîne l’absence d’éventuels dommages et intérêts.


Droit immobilier : à la suite de l'échec d'une vente du fait de son mandant, l’agent Immobilier avait obtenu de son client le paiement de dommages et intérêts par une transaction, mais son mandat était nul.

C'est en ce sens que c'est prononcée la Cour de cassation, 1ére chambre civile, dans on audience publique du jeudi 17 juin 2010 (N° de pourvoi: 09-14144).


L'agent immobilier avec son mandat de vente et le chasseur immobilier (ou chasseur d'appartements) avec son mandat de recherche sont soumis à la même législation et se voient appliquer la même jurisprudence.





jeudi 28 octobre 2010

Le chasseur immobilier ou chasseur d'appartements et la loi Hoguet

Le chasseur immobilier ou chasseur d’appartement et la loi Hoguet

 

 

Interrogée sur ce point en 2008 par un député, la Ministre de la Justice de l’époque a considéré que les chasseurs immobiliers ou chasseurs d'appartements pouvaient être soumis à la loi Hoguet (Loi n° 70-9 du 2 janvier 1970) et à son décret d’application (Décret n°72-678 du 20 juillet 1972) qui réglementent les conditions d'exercice de l'activité desprofessionnels de l’immobilier (Rep. Min. n° 20525, JOAN Q, 12 août 2008, p. 6987).

 

Il s'agirait du cas où ces chasseurs immobiliers - chasseurs d'appartements se livreraient à titre habituel à des opérations d'entremise énumérées à l'article 1er de la loi précitée, à savoir notamment, des opérations portant sur les biens d'autrui et relatives à l'achat, la vente, l'échange, la location ou sous-location, saisonnière ou non, en nu ou en meublé d'immeubles bâtis ou non bâtis.

 

C’est là une position logique puisque ces chasseurs immobiliers ou chasseurs d'appartements interviennent alors sur le marché de l’immobilier en tant que professionnels de l’immobilier répondant, de fait, à toutes les obligations légales régissant ces professionnels.

 

En effet, la Ministre constate que les chasseurs de biens, en pratique, effectuent le plus souvent leurs recherches auprès des agences immobilières, se rémunèrent par le biais d'un partage de la commission perçue par celles-ci et proposent leurs services pour la négociation du prix et l'assistance dans les démarches d'acquisition (promesses de vente ou d'achat, signature finale).

 

Dans ce cas, ils doivent répondre aux conditions d'exercice imposées par la loi Hoguet, à savoir, notamment : détenir une carte professionnelle et justifier d'une Garantie financière et d'une assurance Responsabilité Civile Professionnelle.

 

En revanche, selon la Ministre, l'activité reste libre si la mission du chasseur de biens est strictement limitée à l'exécution rémunérée directement par son client d'une prestation de recherche d'un bien, cette activité demeure alors hors du champ d'application de la législation.

 

 

Cette analyse est claire… mais pourtant revendiquée par des (pseudos) chasseurs immobiliers pour contourner la loi et, ce faisant, porter préjudice aux professionnels de l’immobilier et aux acquéreurs.

 

En effet, cette interprétation ministérielle laisse la porte ouverte à un exercice de recherche immobilière pas des personnes, dans les faits, incompétentes.

Est-il besoin pourtant de rappeler, à ce sujet, une jurisprudence classique :

« ... Se rend coupable d'exercice des fonctions d'agent immobilier sans carte professionnelle le prévenu "expert évaluateur" qui participe, même de façon occasionnelle ou accessoire, à des opérations portant sur les biens d'autrui et relatives à l'achat ou la vente ou la location-gérance d'immeubles et de fonds de commerce, procède seul à la visite des lieux, et fait office d'intermédiaire lors des opérations de négociation... » (Cour d'appel d'Aix-en-Provence, chambre correctionnelle, 24 janvier 2001).

 

 

Il va de soit que si des prétendues chasseurs de biens immobiliers ne signent pas de mandat de recherche, c’est tout simplement qu’ils n’ont pas la possibilité de le faire car il n’ont pas pu obtenir la Carte T, c’est-à-dire n’ont pas les diplômes et/ou l’expérience nécessaire (exigés par la Loi Hoguet) pour se présenter et agir comme de véritables professionnels de l’immobilier.

 

Ils interviennent néanmoins sur le marché immobilier… générant ainsi une concurrence déloyale envers les chasseurs immobiliers professionnels et au détriment des acquéreurs qui, n’étant pas alors protégés par la Loi, notamment en terme de rémunération, peuvent se faire abuser.

 

En ce sens, ne relevant pas de la loi Hoguet, ces pseudos chasseurs immobiliers ou chasseurs d’appartements facturent des frais de dossiers, de services et/ou frais de reportage avant même d’avoir trouvé (le cas échéant) un bien immobilier…

 

Du reste, quand bien même ne le cherche t-il pas une fois qu’ils sont rentrés informellement en relation avec leur client - il n’existe pas dans ce cas de mandat tel que la Loi l’exige pour les professionnels -, ils perçoivent une rémunération… alors même que la loi Hoguet interdit ce type de rémunération aux professionnels de l’immobilier qui eux, logiquement, ne peuvent prétendre à une commission qu’une fois leur mission remplie, à savoir - conformément au mandat écrit qu’ils ont signé ensemble - le jour où leur client devient propriétaire suite à la signature d’un acte authentique de vente chez le notaire…

 

Ce qui explique, corrélativement, que les chasseurs immobiliers détenteurs de la Carte T, tout au moins ceux qui exercent leur activité dans le strict respect de la Loi (tel est le cas des chasseurs immobiliers membres de la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers -FFCI) n’ont pas recours au frais de dossiers, de services et/ou de reportage précités.

 

Il en va de la protection de l’acquéreur considéré, à juste titre, par le législateur comme un consommateur ne devant pas être abusé.

 chasseur immobilier Haute-Garonne

Voici la question du député :

 

M. André Wojciechowski attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité sur la situation juridique de la profession naissante de chasseur d'appartements.

Cette profession, née de l'augmentation du marché de l'immobilier, ne paraît pas entrer dans le champ de la loi Hoguet qui régit les professions de l'immobilier citées par le texte : agents immobiliers, mandataires en vente de fonds de commerce, administrateurs de biens-gérants ; syndics de copropriétés.

Or le « chasseur » d'appartements » agissant comme un prestataire de services n'intervient pas dans la conclusion de la promesse de vente ou l'acte de vente.

L'acheteur et le vendeur s'accordant directement entre eux après son intervention ; il n'y a pas de commission sur le prix de vente ni d'achat, il n'est pas mandataire car il n'y a pas de mandat pour la recherche de la visite.

Cette nouvelle profession est adaptée à l'évolution du marché et à la recherche de produits rares et souvent de haute gamme.

Elle se surajoute donc en amont des professions de l'immobilier existantes.

Il lui demande si, afin de lui permettre un développement harmonieux, de permettre une meilleure protection des professionnels et des clients potentiels, il ne serait pas souhaitable d'en préciser les termes par des textes adaptés.

 

 

Voici la réponse ministérielle :

 

La garde des sceaux, ministre de la justice, fait connaître à l'honorable parlementaire que si la mission du « chasseur de biens » est strictement limitée à l'exécution rémunérée directement par son mandant d'une prestation de recherche d'un bien, cette activité demeure hors du champ d'application de la loi du 2 janvier 1970 et du décret du 20 juillet 1972.

Néanmoins, la pratique démontre que les chasseurs de biens qui effectuent le plus souvent leurs recherches auprès des agences immobilières se rémunèrent par le biais d'un partage de la commission perçue par celles-ci.

Nombre d'entre eux se font conférer un mandat de recherche par le client et proposent leurs services pour la négociation du prix et l'assistance dans les démarches d'acquisition (promesses de vente ou d'achat, signature finale).

Ainsi, les chasseurs de biens se livrent de fait à l'exercice des activités mentionnées à l'article 1er de la loi du 2 janvier 1970 sans parfois être titulaires de la carte professionnelle et donc sans justifier d'une aptitude professionnelle, d'une garantie financière ou d'une assurance de responsabilité civile professionnelle.

Cette situation est préjudiciable tant aux clients qu'aux agents immobiliers régulièrement inscrits.

Si les chasseurs de biens limitent strictement leur activité à l'exécution de la prestation de service que constitue la recherche d'un bien immobilier, il n'y a pas lieu de réglementer cette activité.

Si en revanche, ils se livrent aux opérations d'entremise mentionnées à l'article 1er de la loi du 2 janvier 1970, ils doivent respecter les dispositions de celle-ci ainsi que celles du décret du 20 juillet 1972. À défaut, ils encourent les sanctions prévues par ces textes.

 

mardi 26 octobre 2010

Chasseur immobilier ou chasseur d'appartements ou encore coach immobilier.... un nouveau métier au service des acquéreurs.

Pour inaugurer ce nouveau blog consacré à l'immobilier à TOULOUSE et en Haute-Garonne quoi de mieux que de débuter par un nouveau métier de l'immobilier, tout au moins une activité qui s'implante durablement depuis quelques années: celle de chasseur immobilier !

En provenance des pays anglo-saxons, notamment des USA, où l’activité de chasseur immobilier existe depuis 25 ans environ, cette profession se développe en France depuis le début des années 2000 autour d’une idée simple : le service de l’acquéreur.

Désormais structurée au sein d’une fédération - la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers -, mise en avant de façon plus anecdotique par la Télévision via, notamment, une émission de la chaine M6 - « Recherche appartement ou maison » -, les chasseurs immobiliers accompagnent ainsi de plus en plus de personnes dans leurs projets immobiliers.

A l’écoute du particulier, le chasseur le conseille de façon objective, cherche pour lui de façon exhaustive sur l’intégralité du marché (vente par les agences, les particuliers, les promoteurs, les notaires, etc.), trouve le bien immobilier répondant précisément à son cahier des charges, le met en relation avec des partenaires qualifiés (banques, notaires, architectes, décorateurs, etc.).

Novatrice en France, cette activité, résolument tournée vers la recherche immobilière, diffère donc de celle d’un agent immobilier dont le rôle premier consiste à commercialiser les biens de son portefeuille clients, à défendre les intérêts du vendeur.

Avec un chasseur immobilier (ou chasseur d’appartements, chercheur immobilier ou encore coach immobilier), la logique traditionnelle est inversée, c’est l’acquéreur qui est au centre de toutes les attentions !

De fait, de plus en plus de personnes recourent aux prestations offertes par un chasseur immobilier : celles qui manquent de temps pour effectuer une recherche immobilière de qualité, celles géographiquement éloignées (salariés mutés, investisseurs étrangers, expatriés de retour en France, personnes désireuses d'acquérir une résidence secondaire...), celles à mobilité réduite et, bien sûr, toutes les personnes appréciant le confort et l'efficacité d'un service immobilier sur mesure, "clé en main".

Constat d’autant plus vrai à l’heure actuelle, dans un contexte de ralentissement du marché, où les particuliers ont toujours besoin de plus de conseils, de services, et cela quelque soit leur recherche : appartement, villa, immeuble, terrain,  fonds de commerce, local professionnel, villa, manoir, ferme, maison de maître, etc.

Il en résulte, logiquement, un accroissement du nombre des chasseurs immobiliers désormais présent sur l’ensemble du territoire.

Grandes ou plus petites, une majorité de villes sont concernées : Paris et l’Ile de France, Marseille, Nantes, Lyon, Bordeaux, Lille, Montpellier... et bien sûr Toulouse.

C’est dans ce contexte qu’est née en 2007 la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers (FFCI), dont la vocation est de représenter institutionnellement ces adhérents auprès des pouvoirs publics, les regroupe et crée entre eux un réseau efficace dans l’intérêt des particuliers puisqu’elle s’assure, notamment, du professionnalisme de ses membres.

FFCI - chasseurs immobiliers

 




Les chasseurs immobiliers membres de la FFCI exercent, en effet, leur métier en conformité avec la Loi Hoguet qui règlemente en France les professions immobilières.

Ainsi, ces chasseurs sont détenteurs d’une Carte Professionnelle délivrée par la Préfecture dont-ils dépendent géographiquement.

Ils travaillent sur la base d’un engagement contractuel écrit, clair et précis : un mandat de recherche qui définit leur mission, leurs obligations et leur rémunération.

A ce sujet, et toujours dans un strict respect de la législation, les chasseurs immobiliers de la FFCI ne perçoivent aucun frais de dossier ou une quelconque autre rémunération avant l’accomplissement total de leur mission.

La seule rémunération d’un chasseur immobilier (un pourcentage du montant de la transaction : selon le projet, souvent entre 2,5% et 5,5 %) intervient, en effet, lors de la signature de l’acte authentique de vente devant le notaire, c’est-à-dire au moment où l’acquéreur devient propriétaire, donc uniquement en cas de réussite finale de la mission confié au chasseur.

Enfin, les chasseurs immobiliers de la FFCI exercent dans le respect d’une charte déontologique qui garantie, entre autres, la neutralité, une information continue, une transparence totale, une confidentialité absolue, une rigueur constante avec les partenaires professionnels de l’immobilier. 

Pour en savoir plus sur ce métier novateur et ses acteurs, voici le site de la FFCI : www.federation-chasseurs-immobiliers.com