Actualité sur le marché de l’immobilier toulousain : des professionnels (agence immo et chasseur immo) décryptent le contexte de l'offre et de la demande, les prix de mise de vente, les difficultés rencontrées par les acquéreurs.

 

Le site La Vie Immo interroge, dans son édition en ligne du 25 octobre, des professionnels de la place toulousaine (l’agence immobilière Lafôret et la Société de chasseur immobilier Domicilium) sur le marché immobilier de la ville rose qui, globalement, « tourne au ralenti ».

 

Non pas en termes de prix pratiqués qui, pour les produits de qualité, offrant des prestations recherchées par nombre d’acquéreurs potentiels, restent élevés, mais en volume des transactions.


Les vendeurs, du coup, sont confortés dans leur positionnement - et tendent encore, de fait, à surévaluer leurs appartements ou leurs maisons - puisque l’offre est inférieure à la demande.

 

Reste que cette tendance est vrai dans l’hyper centre, mais que dès que l’on s’éloigne du cœur de la ville il convient vraiment que les appartements ou maisons proposés le soient à des prix correspondant à la réalité économique du moment… c’est-à-dire tirés vers le bas.

 

Et en toute hypothèse, dans ce contexte, recourir à un professionnel a de plus en plus de sens, que ce soit pour vendre un bien (son évaluation au juste prix est, notamment, une nécessité absolue pour espérer vendre dans des délais raisonnables) ou pour le trouver (il convient d’être réactif, outillé et avoir beaucoup de temps pour dénicher la « perle rare », expérimenté pour la négocier à son exacte valeur).

 

Pour en savoir plus sur ce marché voir l’article et l’interview de : La Vie Immo, le portail de l’immobilier du 25 octobre 2012.