Acquérir un logement, investir dans un produit immobilier : les nombreuses raisons de recourir à un chasseur immobilier

 

L’acquisition d’un bien immobilier nécessite du temps à consacrer à la recherche, de l’énergie à « éplucher » les annonces, à organiser des rendez-vous, à visiter les produits immobiliers sélectionnés… souvent à tort car les informations communiquées en amont par les vendeurs ne sont (souvent volontairement pour tenter de capter artificiellement les acquéreurs) que partielles.

La perte du temps qui en résulte rimant alors, dans une certaine mesure, avec une perte d’argent.

Dans un marché immobilier atone, marqué par une double logique de non concordance entre l’offre et la demande (la première étant insuffisante par rapport à la seconde en hyper centre ville… et l’inverse se produisant au fur et à mesure de l’éloignement de celui-ci), trouver un bien implique aussi d’être extrêmement réactif, donc d’avoir au préalable la capacité de scruter au quotidien l’ensemble dudit marché et de se positionner en connaissance de cause sans perdre de temps.

En effet, les biens rares - au sens d’intéressant, ne serait-ce qu’en terme de ratio surface/localisation/état/prix au m2 - se vendent vite.

C’est donc un peu la quadrature du cercle à laquelle sont confrontés désormais les acquéreurs potentiels d’un appartement ou d’une maison.

C’est pourquoi, afin d’envisager sereinement un achat immobilier, nombreux sont les acheteurs des grandes agglomérations qui recourent, à présent depuis plusieurs années, à un chasseur immobilier (parfois dénommé aussi chasseur immo, chasseur d’appartement, chercheur immobilier, chercheur de biens) ; à TOULOUSE et en Haute-Garonne, la Société DOMICILIUM Chasseur Immo faisant ici figure de référence.

Mais outre le fait que le chasseur immobilier (sous réserve, bien sûr, que son expérience ne soit plus à démontrer, qu’un réel savoir faire en face un acteur incontournable d’un secteur donné, qu’il travaille conformément à la loi Hoguet régissant les métiers de la transaction immobilière - soit donc notamment détenteur de la Carte T, travaille sur la base d’un mandat de recherche écrit et soit rémunéré uniquement au résultat lors de la signature de l’acte de vente de son client. -, qu’il soit entouré d’une équipe de collaborateurs qualifiés, etc.) permet de trouver le bien recherché et son acquisition au juste prix (soit au prix du marché considéré à un instant donné, après une évaluation scrupuleuse du dit bien, toujours analysé au cas par cas), cet expert en recherche immobilière va aussi, en amont, conseiller son client.

Conseils multiples allant, entre autre, d’une étude préalable de la faisabilité/viabilité du projet (et solutions éventuelles pour remédier à de possibles écueils), à la mise en relation avec des partenaires qualifiés (intervenant dans le processus général d’achat : banques, courtiers, architecte et artisans le cas échéant, etc.), en passant par des choix stratégiques en matière d’investissement.

Sur ce dernier aspect, plusieurs questions méritent d’être posées… et la pertinence des réponses du conseil et chasseur immobilier sera essentielle pour la réussite finale du projet.

En matière d’investissement et de valorisation patrimoniale, tel est le cas des questions liées :

-       au type de logement sur lequel il convient de se focaliser (style/époque d’immeuble à envisager, surface idoine, etc.) et quel budget ne pas dépasser pour tel ou tel bien,

-       aux quartiers sur lesquels il est judicieux de se positionner,

-       aux secteurs géographiques qu’il faut, le cas échéant, éviter ou bien, au contraire sur lesquels il faut miser, voire parier (la connaissance d’une ville, des projets urbains en cours et à venir, de l’évolution des transports en commun, etc. s’avèrent ici primordiale).

Saisir une opportunité en matière d’achat immobilier implique donc un travail exhaustif et continu de recherche, mais, bien au-delà, de l’expérience - intimement liée à une science globale du marché -, une capacité à étudier finement et précisément une situation toujours personnelle afin de permettre initialement la construction d’un projet d’acquisition cohérent.

S’agissant des quartiers de Toulouse à envisager immédiatement ou dans le futur (pour investir ou acheter sa résidence principale) ou des biens immobiliers à scruter pour espérer faire, le cas échéant, une « affaire », l’article paru dans le journal Métronews du 13 octobre dernier se révèle être un exemple plutôt éloquent :

Metronews_-_13_fevrier_2014__Borderouge__Marengo_et_Bonnefoy__les_quartiers_sur_lesquels_miser.