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Mot-clé - Fédération Française des Chasseurs Immobiliers

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mardi 23 novembre 2010

Chasseur immobilier : un métier adapté aux expatriés de retour en France, aux personnes mutées en Haute-Garonne, aux étrangers arrivant à Toulouse.


Expatrié de retour en France, muté en Haute-Garonne, étranger arrivant à Toulouse pour des raisons professionnelles, faite appel à un chasseur immobilier pour trouver votre futur logement.

Relocation ou impatriation, installation à Toulouse ou ses environs, déménagement et découverte d’un nouvel environnement, facilitation des démarches administratives et recherche de votre nouvel appartement ou de votre nouvelle maison, le chasseur immobilier est là pour vous conseiller et vous aider.

Offrant un service immobilier sur mesure, prenant en charge votre projet immobilier, ce spécialiste du marché immobilier toulousain vous permet d’acquérir en toute sérénité le bien immobilier que vous ne pouvez pas trouver seul en raison d’un éloignement géographique et/ou d’une méconnaissance de votre nouvelle ville d’accueil.

En Haute-Garonne et en Gascogne, pionnier et leader dans l’activité de chasseur immobilier, l’équipe de DOMICILIUM et son réseau de partenaires qualifiés vous accompagne ainsi dans votre projet immobilier. 

chasseur immobilier Toulouse : www.domicilium.fr

Plus d'informations sur : http://www.domicilium.fr 

DOMICILIUM

Conseil et Chasseur immobilier - Carte Professionnelle n° T1748 - Membre du Syndicat National des Professionnels de l'Immobilier (SNPI) et de la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers (FFCI)

15 rue Saint-Bernard

31000 Toulouse

Tel : 05 62 27 22 60

http://www.domicilium.fr

Votre chasseur appartement Toulouse : Domicilium


dimanche 31 octobre 2010

FFCI - Fédération Française des Chasseurs Immobiliers

FFCI - chasseurs immobiliers

 

 

 

FFCI, première Fédération des Chasseurs Immobiliers

La profession de chasseur immobilier - ou chasseur d’appartement - se développe en France depuis le début des années 2000 autour d’une idée simple : un service sur mesure pour l’acquéreur.

Cette activité novatrice s’est structurée en 2007 au sein de la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers (http://www.federation-chasseurs-immobiliers.com/) qui a une triple vocation vis à vis des acquéreurs, des chasseurs immobiliers, des professionnels et pouvoirs public

VIS-A-VIS DES ACQUEREURS

- La FFCI propose un service sur mesure aux acquéreurs à la recherche d’une résidence principale ou secondaire (appartement ou maison), de locaux professionnels, d’un terrain, d’un immeuble, etc.

« Vous n’avez pas le temps de chercher ou vous n’habitez pas sur place pour trouver votre futur logement ? Pour un achat en toute sérénité, un chasseur immobilier FFCI prend en charge votre projet. »

Représentés sur l’ensemble du territoire, les chasseurs immobiliers FFCI s’engagent :

·      sur une charte éthique et déontologique,

·      une écoute et un accompagnement total des clients,

·      une recherche qualitative et une sélection rigoureuse des biens,

·      le strict respect de la Loi (entre autre : la détention d’une Carte professionnelle et l’absence de frais de dossier).

VIS-A-VIS DES CHASSEURS IMMOBILIERS

- La FFCI réunit la très grande majorité des chasseurs immobiliers exerçant ou souhaitant exercer ce métier dans le respect de la réglementation.
« Parlons d’une seule voix afin de promouvoir efficacement notre profession. »

Présents dans de très nombreuses villes françaises, les adhérents de la FFCI bénéficient :

·      d’un label de qualité et d’un soutien logistique par une mutualisation de moyens humains et financiers,

·      d’une plus grande visibilité et de moyens de communications sur des supports nationaux,

·      d’échanges et des partenariats sur les projets de certains clients,

·      d’une représentativité vis-à-vis des professionnels et des pouvoirs publics.

VIS-A-VIS DES POUVOIRS PUBLICS ET DES PROFESSIONNELS


- La
FFCI représente les chasseurs immobiliers auprès des pouvoirs publics, des syndicats professionnels, des Chambres des notaires, etc. en faisant connaître et reconnaître la profession et en défendant ses intérêts.

- La FFCI est partenaire interactif des professionnels de l’immobilier (agences, Promoteurs, etc.) dans une totale transparence et l’intérêt des clients.

« Dialoguons et collaborons dans le souci de satisfaire nos clients. »

FFCI - chasseur immobilier Toulouse

 

La FFCI est présente à Paris et toute la région parisienne, à Toulouse, Lyon, Rennes, Montpellier, Nantes, Toulon, etc.

 

A Toulouse, le chasseur immobilier FFCI est représentée par la Société Domicilium : http://www.domicilium.fr

 

 

jeudi 28 octobre 2010

Le chasseur immobilier ou chasseur d'appartements et la loi Hoguet

Le chasseur immobilier ou chasseur d’appartement et la loi Hoguet

 

 

Interrogée sur ce point en 2008 par un député, la Ministre de la Justice de l’époque a considéré que les chasseurs immobiliers ou chasseurs d'appartements pouvaient être soumis à la loi Hoguet (Loi n° 70-9 du 2 janvier 1970) et à son décret d’application (Décret n°72-678 du 20 juillet 1972) qui réglementent les conditions d'exercice de l'activité desprofessionnels de l’immobilier (Rep. Min. n° 20525, JOAN Q, 12 août 2008, p. 6987).

 

Il s'agirait du cas où ces chasseurs immobiliers - chasseurs d'appartements se livreraient à titre habituel à des opérations d'entremise énumérées à l'article 1er de la loi précitée, à savoir notamment, des opérations portant sur les biens d'autrui et relatives à l'achat, la vente, l'échange, la location ou sous-location, saisonnière ou non, en nu ou en meublé d'immeubles bâtis ou non bâtis.

 

C’est là une position logique puisque ces chasseurs immobiliers ou chasseurs d'appartements interviennent alors sur le marché de l’immobilier en tant que professionnels de l’immobilier répondant, de fait, à toutes les obligations légales régissant ces professionnels.

 

En effet, la Ministre constate que les chasseurs de biens, en pratique, effectuent le plus souvent leurs recherches auprès des agences immobilières, se rémunèrent par le biais d'un partage de la commission perçue par celles-ci et proposent leurs services pour la négociation du prix et l'assistance dans les démarches d'acquisition (promesses de vente ou d'achat, signature finale).

 

Dans ce cas, ils doivent répondre aux conditions d'exercice imposées par la loi Hoguet, à savoir, notamment : détenir une carte professionnelle et justifier d'une Garantie financière et d'une assurance Responsabilité Civile Professionnelle.

 

En revanche, selon la Ministre, l'activité reste libre si la mission du chasseur de biens est strictement limitée à l'exécution rémunérée directement par son client d'une prestation de recherche d'un bien, cette activité demeure alors hors du champ d'application de la législation.

 

 

Cette analyse est claire… mais pourtant revendiquée par des (pseudos) chasseurs immobiliers pour contourner la loi et, ce faisant, porter préjudice aux professionnels de l’immobilier et aux acquéreurs.

 

En effet, cette interprétation ministérielle laisse la porte ouverte à un exercice de recherche immobilière pas des personnes, dans les faits, incompétentes.

Est-il besoin pourtant de rappeler, à ce sujet, une jurisprudence classique :

« ... Se rend coupable d'exercice des fonctions d'agent immobilier sans carte professionnelle le prévenu "expert évaluateur" qui participe, même de façon occasionnelle ou accessoire, à des opérations portant sur les biens d'autrui et relatives à l'achat ou la vente ou la location-gérance d'immeubles et de fonds de commerce, procède seul à la visite des lieux, et fait office d'intermédiaire lors des opérations de négociation... » (Cour d'appel d'Aix-en-Provence, chambre correctionnelle, 24 janvier 2001).

 

 

Il va de soit que si des prétendues chasseurs de biens immobiliers ne signent pas de mandat de recherche, c’est tout simplement qu’ils n’ont pas la possibilité de le faire car il n’ont pas pu obtenir la Carte T, c’est-à-dire n’ont pas les diplômes et/ou l’expérience nécessaire (exigés par la Loi Hoguet) pour se présenter et agir comme de véritables professionnels de l’immobilier.

 

Ils interviennent néanmoins sur le marché immobilier… générant ainsi une concurrence déloyale envers les chasseurs immobiliers professionnels et au détriment des acquéreurs qui, n’étant pas alors protégés par la Loi, notamment en terme de rémunération, peuvent se faire abuser.

 

En ce sens, ne relevant pas de la loi Hoguet, ces pseudos chasseurs immobiliers ou chasseurs d’appartements facturent des frais de dossiers, de services et/ou frais de reportage avant même d’avoir trouvé (le cas échéant) un bien immobilier…

 

Du reste, quand bien même ne le cherche t-il pas une fois qu’ils sont rentrés informellement en relation avec leur client - il n’existe pas dans ce cas de mandat tel que la Loi l’exige pour les professionnels -, ils perçoivent une rémunération… alors même que la loi Hoguet interdit ce type de rémunération aux professionnels de l’immobilier qui eux, logiquement, ne peuvent prétendre à une commission qu’une fois leur mission remplie, à savoir - conformément au mandat écrit qu’ils ont signé ensemble - le jour où leur client devient propriétaire suite à la signature d’un acte authentique de vente chez le notaire…

 

Ce qui explique, corrélativement, que les chasseurs immobiliers détenteurs de la Carte T, tout au moins ceux qui exercent leur activité dans le strict respect de la Loi (tel est le cas des chasseurs immobiliers membres de la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers -FFCI) n’ont pas recours au frais de dossiers, de services et/ou de reportage précités.

 

Il en va de la protection de l’acquéreur considéré, à juste titre, par le législateur comme un consommateur ne devant pas être abusé.

 chasseur immobilier Haute-Garonne

Voici la question du député :

 

M. André Wojciechowski attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité sur la situation juridique de la profession naissante de chasseur d'appartements.

Cette profession, née de l'augmentation du marché de l'immobilier, ne paraît pas entrer dans le champ de la loi Hoguet qui régit les professions de l'immobilier citées par le texte : agents immobiliers, mandataires en vente de fonds de commerce, administrateurs de biens-gérants ; syndics de copropriétés.

Or le « chasseur » d'appartements » agissant comme un prestataire de services n'intervient pas dans la conclusion de la promesse de vente ou l'acte de vente.

L'acheteur et le vendeur s'accordant directement entre eux après son intervention ; il n'y a pas de commission sur le prix de vente ni d'achat, il n'est pas mandataire car il n'y a pas de mandat pour la recherche de la visite.

Cette nouvelle profession est adaptée à l'évolution du marché et à la recherche de produits rares et souvent de haute gamme.

Elle se surajoute donc en amont des professions de l'immobilier existantes.

Il lui demande si, afin de lui permettre un développement harmonieux, de permettre une meilleure protection des professionnels et des clients potentiels, il ne serait pas souhaitable d'en préciser les termes par des textes adaptés.

 

 

Voici la réponse ministérielle :

 

La garde des sceaux, ministre de la justice, fait connaître à l'honorable parlementaire que si la mission du « chasseur de biens » est strictement limitée à l'exécution rémunérée directement par son mandant d'une prestation de recherche d'un bien, cette activité demeure hors du champ d'application de la loi du 2 janvier 1970 et du décret du 20 juillet 1972.

Néanmoins, la pratique démontre que les chasseurs de biens qui effectuent le plus souvent leurs recherches auprès des agences immobilières se rémunèrent par le biais d'un partage de la commission perçue par celles-ci.

Nombre d'entre eux se font conférer un mandat de recherche par le client et proposent leurs services pour la négociation du prix et l'assistance dans les démarches d'acquisition (promesses de vente ou d'achat, signature finale).

Ainsi, les chasseurs de biens se livrent de fait à l'exercice des activités mentionnées à l'article 1er de la loi du 2 janvier 1970 sans parfois être titulaires de la carte professionnelle et donc sans justifier d'une aptitude professionnelle, d'une garantie financière ou d'une assurance de responsabilité civile professionnelle.

Cette situation est préjudiciable tant aux clients qu'aux agents immobiliers régulièrement inscrits.

Si les chasseurs de biens limitent strictement leur activité à l'exécution de la prestation de service que constitue la recherche d'un bien immobilier, il n'y a pas lieu de réglementer cette activité.

Si en revanche, ils se livrent aux opérations d'entremise mentionnées à l'article 1er de la loi du 2 janvier 1970, ils doivent respecter les dispositions de celle-ci ainsi que celles du décret du 20 juillet 1972. À défaut, ils encourent les sanctions prévues par ces textes.

 

mardi 26 octobre 2010

Chasseur immobilier ou chasseur d'appartements ou encore coach immobilier.... un nouveau métier au service des acquéreurs.

Pour inaugurer ce nouveau blog consacré à l'immobilier à TOULOUSE et en Haute-Garonne quoi de mieux que de débuter par un nouveau métier de l'immobilier, tout au moins une activité qui s'implante durablement depuis quelques années: celle de chasseur immobilier !

En provenance des pays anglo-saxons, notamment des USA, où l’activité de chasseur immobilier existe depuis 25 ans environ, cette profession se développe en France depuis le début des années 2000 autour d’une idée simple : le service de l’acquéreur.

Désormais structurée au sein d’une fédération - la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers -, mise en avant de façon plus anecdotique par la Télévision via, notamment, une émission de la chaine M6 - « Recherche appartement ou maison » -, les chasseurs immobiliers accompagnent ainsi de plus en plus de personnes dans leurs projets immobiliers.

A l’écoute du particulier, le chasseur le conseille de façon objective, cherche pour lui de façon exhaustive sur l’intégralité du marché (vente par les agences, les particuliers, les promoteurs, les notaires, etc.), trouve le bien immobilier répondant précisément à son cahier des charges, le met en relation avec des partenaires qualifiés (banques, notaires, architectes, décorateurs, etc.).

Novatrice en France, cette activité, résolument tournée vers la recherche immobilière, diffère donc de celle d’un agent immobilier dont le rôle premier consiste à commercialiser les biens de son portefeuille clients, à défendre les intérêts du vendeur.

Avec un chasseur immobilier (ou chasseur d’appartements, chercheur immobilier ou encore coach immobilier), la logique traditionnelle est inversée, c’est l’acquéreur qui est au centre de toutes les attentions !

De fait, de plus en plus de personnes recourent aux prestations offertes par un chasseur immobilier : celles qui manquent de temps pour effectuer une recherche immobilière de qualité, celles géographiquement éloignées (salariés mutés, investisseurs étrangers, expatriés de retour en France, personnes désireuses d'acquérir une résidence secondaire...), celles à mobilité réduite et, bien sûr, toutes les personnes appréciant le confort et l'efficacité d'un service immobilier sur mesure, "clé en main".

Constat d’autant plus vrai à l’heure actuelle, dans un contexte de ralentissement du marché, où les particuliers ont toujours besoin de plus de conseils, de services, et cela quelque soit leur recherche : appartement, villa, immeuble, terrain,  fonds de commerce, local professionnel, villa, manoir, ferme, maison de maître, etc.

Il en résulte, logiquement, un accroissement du nombre des chasseurs immobiliers désormais présent sur l’ensemble du territoire.

Grandes ou plus petites, une majorité de villes sont concernées : Paris et l’Ile de France, Marseille, Nantes, Lyon, Bordeaux, Lille, Montpellier... et bien sûr Toulouse.

C’est dans ce contexte qu’est née en 2007 la Fédération Française des Chasseurs Immobiliers (FFCI), dont la vocation est de représenter institutionnellement ces adhérents auprès des pouvoirs publics, les regroupe et crée entre eux un réseau efficace dans l’intérêt des particuliers puisqu’elle s’assure, notamment, du professionnalisme de ses membres.

FFCI - chasseurs immobiliers

 




Les chasseurs immobiliers membres de la FFCI exercent, en effet, leur métier en conformité avec la Loi Hoguet qui règlemente en France les professions immobilières.

Ainsi, ces chasseurs sont détenteurs d’une Carte Professionnelle délivrée par la Préfecture dont-ils dépendent géographiquement.

Ils travaillent sur la base d’un engagement contractuel écrit, clair et précis : un mandat de recherche qui définit leur mission, leurs obligations et leur rémunération.

A ce sujet, et toujours dans un strict respect de la législation, les chasseurs immobiliers de la FFCI ne perçoivent aucun frais de dossier ou une quelconque autre rémunération avant l’accomplissement total de leur mission.

La seule rémunération d’un chasseur immobilier (un pourcentage du montant de la transaction : selon le projet, souvent entre 2,5% et 5,5 %) intervient, en effet, lors de la signature de l’acte authentique de vente devant le notaire, c’est-à-dire au moment où l’acquéreur devient propriétaire, donc uniquement en cas de réussite finale de la mission confié au chasseur.

Enfin, les chasseurs immobiliers de la FFCI exercent dans le respect d’une charte déontologique qui garantie, entre autres, la neutralité, une information continue, une transparence totale, une confidentialité absolue, une rigueur constante avec les partenaires professionnels de l’immobilier. 

Pour en savoir plus sur ce métier novateur et ses acteurs, voici le site de la FFCI : www.federation-chasseurs-immobiliers.com