Les vacances estivales pointant le bout de leur nez… Toulouse immobilier s’apprête, pour quelques petites semaines, à une « pause immobilière ».

A cet égard, période oblige, nous souhaitons à tous ceux qui vont avoir la chance d’en faire de même, d’excellentes vacances et, en toute hypothèse, du soleil pour tous… qui a cruellement fait défaut au printemps !

Comme après chaque début d’été, nous aurons le plaisir de nous retrouver dans le courant du mois d’août pour aborder nos thèmes de prédilections et, si possible, en dénicher de nouveaux… toujours au cœur, bien sûr, de l’actualité immobilière toulousaine et celle de ses environs immédiats.

En ce sens, réformes juridiques, veille jurisprudentielle, évolution et prix du marché immobilier quartier par quartier, loupe sur les principaux acteurs immobiliers (expert, agent immo et vendeur/propriétaire, chasseur immobilier et acquéreur, bailleur et locataire, promoteur et lotisseur, notaire, architecte, courtier, diagnostiqueur, etc.), aménagement de la ville et chantiers en cours, projets urbains à venir, etc. seront encore, bien évidement, au centre de nos futurs billets.

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Comme nous avons eu le loisir de le mettre en évidence, le premier semestre de l’année aura été symbolisé par un marché tendu en centre ville en raison d’une offre inférieure à la demande (de fait, le volume des transactions y a globalement été moindre que ce que les prévisions laissaient entrevoir ; ce qui se vérifie du reste sur l’ensemble du territoire national), mais avec néanmoins une volonté plus nette des acquéreurs potentiels de passer à l’acte, de se projeter : les taux d’emprunts étant toujours très bas expliquant largement cette tendance.

Cette situation ne devrait pas connaître de bouleversement en septembre, ne serait-ce qu’en raison de crédits bancaires annoncés de façon quasi unanime comme restant en principe toujours particulièrement attractif durant l’été.

Les vendeurs pourront ainsi profiter de cette conjoncture favorable (à condition toutefois de rester dans les prix du marché, donc à connaître celui-ci de façon précise ; l’aide d’un agent immobilier expérimenté ne pouvant ici que constituer un plus) et les acquéreurs aussi… sous réserve, eux, de pouvoir trouver la « perle rare » (de ce point de vue, le recours à un chasseur immobilier - là encore expérimenté - ne saurait être que conseillé).

D’ici là, et quelque soit les résolutions immobilières à venir (ou pas) des uns et des autres, bonne pause à tous… que nous espérons donc ensoleillée !