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mardi 15 février 2011

Le marché immobilier toulousain au crible : hausse des prix, difficulté pour se loger, recours fréquent à un chasseur immobilier


Dans son édition du 10 février 2011, ToulEco titre : « Avec +7,7% en 2010, l’immobilier toulousain oublie la crise ».

 

Et de poursuivre cette analyse positive du marché immobilier toulousain de la sorte :

 

« Forte augmentation des ventes, baisse des stocks et hausse des prix en 2010, c’est le tableau de sortie de crise d’une année record pour le marché immobilier toulousain.

 

En 2010, les ventes de logements neufs (6.720) dans l’agglomération toulousaine ont fait un bond de 21%, par rapport à 2009 (5.530). Oubliés les temps de crise et l’année noire 2008 (2.740), le marché de l’immobilier s’est refait une santé, comme dans toutes les grandes métropoles françaises.


En terre toulousaine, il a pu être alimenté par un renforcement très fort des mises en vente.

 

« C’est une année record, constate Alexandra François-Cuxac, présidente de l’Observer de l’immobilier toulousain, qui vient de publier son analyse annuelle des évolutions de la promotion immobilière. C’est le Scellier qui a fait le marché, dans un contexte très favorable pour les taux d’intérêt, toujours très bas. 73% des produits ont été vendus à des investisseurs qui ont profité de l’attractivité de la défiscalisation. Dès cette année, en effet, l’investissement Scellier va changer de nature et sera de moins en moins porteur. »

 

Offre commerciale très faible et prix forts

 

Conséquence, une offre commerciale devenue très faible et qui représente à peine 4 mois de stock. « Le rythme de vente est particulièrement élevé puisqu’il faut moins de 9 mois pour commercialiser une opération », précise la présidente de l’Observer. Autre conséquence d’un marché aussi dynamique, l’inévitable poussée des prix en hausse de 7,7% en un an. Le prix moyen dans la métropole s’affiche à 3.210 euros le mètre carré. Une progression supérieure à la moyenne nationale (6,5%) et bien plus forte que celle de la province (3,9%).


« L’agglomération toulousaine reste cependant à un niveau de prix inférieur à de nombreux grands pôles urbains. Nous occupons la 8ème position derrière nos voisines comme Montpellier (3.591 euros le mètre carré) ou Bordeaux (3.260). Comptez, en moyenne, 116.559 euros pour un studio, 146.336 euros pour un deux pièces, 195.530 euros pour un trois pièces, 248.793 euros pour un quatre pièces et 339.792 euros pour un cinq pièces (hors parking, TVA à 19,6%).

 

Au top des ventes, les T2 et les T3, surtout quand ils sont dans Toulouse ou en première couronne. A noter également, la forte hausse de l’accession à la propriété grâce aux dispositifs de soutien en TVA à 5,5% (+67,8%).

 

Risque de pénurie ?

 

Des prix qui sont alourdis par les normes Bâtiments basse consommation (BBC), obligatoires dès 2012 et qui impactent le coût final à hauteur de 5% environ. « Nous avons réussi à digérer ce surcoût sans freiner l’activité, explique Alexandra François-Cuxac, mais c’est en 2011, quand nous bâtirons uniquement en BBC que nous pourrons apprécier l’impact réel. »

 

« Avec un foncier rare et cher et une offre qui ne sera pas assez renouvelée, Toulouse pourrait connaître une certaine pénurie en 2011 », s’inquiète l’Observer. Le besoin de logements neufs reste très important et les programmes lancés sont déjà commercialisés. Et nombre de nouvelles opérations (Borderouge, Monges, Andromède, Balma ou Saint-Orens) ne verront leurs premières livraisons qu’en 2012 ».


Au-delà des chiffres, c’est ce dernier point - une certaine pénurie de l’offre - qui s’avère être la réalité du marché immobilier toulousain et, de fait, des prix élevés pour les biens qualitatifs, synonyme d’une difficulté pour se loger en centre ville.

L’année 2010 en a été le symptôme… l’année 2011 semble corroborer cet état de fait.

Ce qui explique le recours de plus en plus fréquent, pour les personnes qui n’ont pas le temps de chercher leur futur appartement ou maison, à un chasseur immobilier (ou chasseur d’appartement) qui se consacre, pour eux, aux recherches fastidieuses, les conseille et négocie au mieux leurs intérêts.

De par son ancienneté et son expérience très forte du marché toulousain, l’équipe de chasseurs immobiliers de la Société DOMICILIUM, satisfait toujours plus d’acquéreurs.

Pour plus d'informations sur cette Société pionnière en matière de recherche de biens immobiliers, voir son site http://www.domicilium.fr

chasseur immobilier Toulouse chasseur immobilier Toulouse : www.domicilium.fr


mardi 16 novembre 2010

Hausse des prix du marché immobilier toulousain : le chasseur immobilier, une solution efficace pour trouver sereinement et à moindre coût son appartement ou sa maison.


Comme nous vous l’annoncions dans un précédent billet, le marché immobilier toulousain connait une certaine hausse des prix.

Dans son édition du 15 novembre, le quotidien gratuit « 20 minutes Toulouse » le confirme :

« Les ventes et les prix sont en Hausse, pas les surfaces. Le mètre carré a pris 250 € en un an.

Dans le grand Toulouse, le nombre de permis de construire délivrés pour des maisons individuelles est en hausse de 20 % par rapport à l'année dernière et pourrait atteindre les 3 400 d'ici à la fin de l'année. Le Syndicat national des aménageurs lotisseurs (Snal) parle d'un « vrai redémarrage ». Il se fait toutefois au détriment de la dimension des jardins.

A Toulouse et dans sa première couronne, où le foncier disponible est réduit à peau de chagrin, les rares transactions concernent des parcelles inférieures à 500 m2.

En 2e, 3e et 4e couronnes, les surfaces de plus de 1 200 m2 disparaissent et un quart des lots sont inférieurs à 600 m2.

Les investisseurs dominent

Plus globalement, l'immobilier connaît une croissance soutenue.

Les ventes ont déjà augmenté de 28 % cette année, selon la dernière livraison chiffrée de l'Observer de l'Immobilier, un outil statistique mis en place par les promoteurs.

Les prix sont au diapason : le mètre carré a augmenté de 250 euros en moyenne en l'espace d'un an. Et le marché reste très déséquilibré, puisque 71 à 74 % des acquéreurs sont en fait des investisseurs qui font jouer des dispositifs de défiscalisation.

Parallèlement, alors que les conditions d'accès au crédit bancaire restent difficiles, 19 % des acheteurs ne vont pas au bout de leur projet d'achat. »

 Domicilium chasseur immobilier Toulouse centre

Face à cette situation d’un marché tendu où il est difficile, surtout dans l’ancien et le centre ville de Toulouse, de trouver un bien immobilier qualitatif, de nombreux acquéreurs recourent au service d’un chasseur immobilier.

Connaissant parfaitement le marché immobilier et les opportunités que celui-ci peut offrir, le chasseur immobilier (connu aussi sous le nom de chasseur d’appartement, coach immobilier, chercheur de biens immobiliers, flat hunter, chasseur de pierres, etc.) permet à toutes les catégories d’acquéreurs (le chasseur immobilier est fondamentalement du côté acheteur) de mener sereinement leur projet.

Analysé en amont (le chasseur immobilier est un professionnel qui étudie la viabilité de la demande de ses client, les conseille avant d’engager une recherche), tous les projets sont concernés.

Ainsi, les investisseurs à la recherche de petite surface (studio, T1 ou T2) ou d’un immeuble, les primo-accédant qui décident de devenir propriétaires, les personnes en mutation, celle à la recherche d’un bien rare, de prestige (appartement de standing, maison de maître, hôtel particulier), les professionnels (qui n’ont pas le temps de chercher un nouveau local, des bureaux, un fonds de commerce, un droit au bail, etc.), les personnes à la recherche d’une résidence secondaire, etc. choisissent de plus en plus souvent de confier leur projet à un chasseur immobilier.

Son expertise leur fait gagner du temps... et de l'argent.