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jeudi 8 mars 2012

Prix de l’immobilier à Toulouse : le prix au m2 a augmenté en 2011 dans l’hyper centre ville.


Revue de presse : Prix de l’immobilier à Toulouse


Puisant leurs sources dans les chiffres fournis par les Notaires de la Haute-Garonne, le quotidien La Dépêche et le journal de l'actualité économique ToulEco, à l’orée du Salon de l’Immobilier qui ouvre ses portes demain (9 mars), relatent que le prix au m2 à continué à légèrement augmenté en 2011 dans l’hyper centre ville de Toulouse.

Voici quelques extraits du journal La Dépêche dont l’intégralité de l’article est consultable dans l’édition du 7 mars 2012 :

« Marché de l'immobilier : le prix au m2, quartier par quartier.

Les prix des logements anciens ont augmenté de 5%, en 2011. Une hausse modérée, révélée par les notaires, à deux jours de l'ouverture du salon de l'immobilier, vendredi. Ce sont les quartiers du vieux Toulouse qui restent les plus chers.

« La pierre reste la valeur refuge

 

Le prix des maisons a doublé en dix ans

À Toulouse, une maison de 4/5 pièces sur un terrain d'environ 400 m2 coûte dans les 320 000€. Le prix des maisons anciennes (construites depuis plus de cinq ans) a augmenté de 11,3 % en 2 011. Il y a dix ans, la même maison coûtait deux fois moins cher »…

 

Quelques extraits, à présent, de la quotidienne Toul-Eco (dont le billet dans son intégralité peut-être lu dans l'édition, également, du 7 mars 2012), confirment cette analyse :

« En temps de crise, l’immobilier reste une valeur refuge. Sans surprise, Toulouse et ses quartiers de l’hyper-centre ont attiré les investisseurs en 2011 faisant grimper les prix du mètre carré dans l’ancien tandis que le Mirail et Fontaine-Lestang ont enregistré une baisse.

Les quartiers les plus chers de Toulouse, dont les prix ne cessent de grimper, restent inchangés depuis des années : Ozenne, Carmes et Capitole sont en tête du peloton. En 2011, selon les tendances de l’immobilier publiées par les Notaires de France-Perval, le prix du mètre carré dans l’ancien a même augmenté entre 3,9 et 12,5 %, franchissant la barre des 3.400 euros. Cependant, cette hausse qualifiée de « spectaculaire » selon Me Philipe Pailhes, responsable immobilier de la chambre interdépartementale des notaires, pour certains secteurs du centre-ville (+12,5 pour Ozenne, 9,7 % pour la place occitane/Wilson) n’est pas constatée pour les autres quartiers de la métropole régionale...».

Nous souscrivons pleinement à ces propos qui trouvent une de leurs explications principales dans le fait que l’offre de logements est inférieure, beaucoup trop inférieure, à la demande.

De fait, trouver un appartement dans l’hyper centre ville Toulousain, y acquérir un bien immobilier au juste prix, s’avère une tâche de plus en plus délicate.

Chasseur d'appartement - DOMICILIUM www.domicilium.fr

Ce qui est rare est (souvent) cher… L’immobilier, valeur refuge qui plus est, n’échappe pas à cette loi du marché qui se vérifie d’autant plus dans une conjoncture économique emprunte de frilosité et d’attentisme.

Dans l'ancien, les propriétaires qui ont la possibilité de conserver leur patrimoine immobilier sont réticents à vendre et pour le neuf les promoteurs ont du mal à acquérir du foncier (bâti ou non bâti) à des prix raisonnables.

Tous attendent également le résultat des élections présidentielles pour prendre connaissance des perspectives qui peuvent être escomptées en fin d’année via entre autre, si tel devait être le cas, une ou des nouvelles lois en matière de défiscalisation et des dispositifs d’aides (financières) à l’accession au logement.

L'année 2012 risque donc d’être une période relativement calme, tout au moins durant le premier semestre… Et cette analyse semble néanmoins être à nuancer selon qu’elle vise le département de la Haute-Garonne en général (au-delà de la troisième couronne) ou l’agglomération toulousaine de façon plus spécifique (en particulier dans l'hyper centre ville).

En raison d’une activité économique toujours dense, de mobilités géographiques soutenues dans le cadre notamment des mutations professionnelles, Toulouse et ses environs immédiats restent, en effet, recherchés et, ce faisant, le nombre de transactions immobilières d’une part et les prix pratiqués d’autre part devraient garder le cap !

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mardi 15 février 2011

Le marché immobilier toulousain au crible : hausse des prix, difficulté pour se loger, recours fréquent à un chasseur immobilier


Dans son édition du 10 février 2011, ToulEco titre : « Avec +7,7% en 2010, l’immobilier toulousain oublie la crise ».

 

Et de poursuivre cette analyse positive du marché immobilier toulousain de la sorte :

 

« Forte augmentation des ventes, baisse des stocks et hausse des prix en 2010, c’est le tableau de sortie de crise d’une année record pour le marché immobilier toulousain.

 

En 2010, les ventes de logements neufs (6.720) dans l’agglomération toulousaine ont fait un bond de 21%, par rapport à 2009 (5.530). Oubliés les temps de crise et l’année noire 2008 (2.740), le marché de l’immobilier s’est refait une santé, comme dans toutes les grandes métropoles françaises.


En terre toulousaine, il a pu être alimenté par un renforcement très fort des mises en vente.

 

« C’est une année record, constate Alexandra François-Cuxac, présidente de l’Observer de l’immobilier toulousain, qui vient de publier son analyse annuelle des évolutions de la promotion immobilière. C’est le Scellier qui a fait le marché, dans un contexte très favorable pour les taux d’intérêt, toujours très bas. 73% des produits ont été vendus à des investisseurs qui ont profité de l’attractivité de la défiscalisation. Dès cette année, en effet, l’investissement Scellier va changer de nature et sera de moins en moins porteur. »

 

Offre commerciale très faible et prix forts

 

Conséquence, une offre commerciale devenue très faible et qui représente à peine 4 mois de stock. « Le rythme de vente est particulièrement élevé puisqu’il faut moins de 9 mois pour commercialiser une opération », précise la présidente de l’Observer. Autre conséquence d’un marché aussi dynamique, l’inévitable poussée des prix en hausse de 7,7% en un an. Le prix moyen dans la métropole s’affiche à 3.210 euros le mètre carré. Une progression supérieure à la moyenne nationale (6,5%) et bien plus forte que celle de la province (3,9%).


« L’agglomération toulousaine reste cependant à un niveau de prix inférieur à de nombreux grands pôles urbains. Nous occupons la 8ème position derrière nos voisines comme Montpellier (3.591 euros le mètre carré) ou Bordeaux (3.260). Comptez, en moyenne, 116.559 euros pour un studio, 146.336 euros pour un deux pièces, 195.530 euros pour un trois pièces, 248.793 euros pour un quatre pièces et 339.792 euros pour un cinq pièces (hors parking, TVA à 19,6%).

 

Au top des ventes, les T2 et les T3, surtout quand ils sont dans Toulouse ou en première couronne. A noter également, la forte hausse de l’accession à la propriété grâce aux dispositifs de soutien en TVA à 5,5% (+67,8%).

 

Risque de pénurie ?

 

Des prix qui sont alourdis par les normes Bâtiments basse consommation (BBC), obligatoires dès 2012 et qui impactent le coût final à hauteur de 5% environ. « Nous avons réussi à digérer ce surcoût sans freiner l’activité, explique Alexandra François-Cuxac, mais c’est en 2011, quand nous bâtirons uniquement en BBC que nous pourrons apprécier l’impact réel. »

 

« Avec un foncier rare et cher et une offre qui ne sera pas assez renouvelée, Toulouse pourrait connaître une certaine pénurie en 2011 », s’inquiète l’Observer. Le besoin de logements neufs reste très important et les programmes lancés sont déjà commercialisés. Et nombre de nouvelles opérations (Borderouge, Monges, Andromède, Balma ou Saint-Orens) ne verront leurs premières livraisons qu’en 2012 ».


Au-delà des chiffres, c’est ce dernier point - une certaine pénurie de l’offre - qui s’avère être la réalité du marché immobilier toulousain et, de fait, des prix élevés pour les biens qualitatifs, synonyme d’une difficulté pour se loger en centre ville.

L’année 2010 en a été le symptôme… l’année 2011 semble corroborer cet état de fait.

Ce qui explique le recours de plus en plus fréquent, pour les personnes qui n’ont pas le temps de chercher leur futur appartement ou maison, à un chasseur immobilier (ou chasseur d’appartement) qui se consacre, pour eux, aux recherches fastidieuses, les conseille et négocie au mieux leurs intérêts.

De par son ancienneté et son expérience très forte du marché toulousain, l’équipe de chasseurs immobiliers de la Société DOMICILIUM, satisfait toujours plus d’acquéreurs.

Pour plus d'informations sur cette Société pionnière en matière de recherche de biens immobiliers, voir son site http://www.domicilium.fr

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