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lundi 11 avril 2011

Toulouse, : la nécessité de construire environ 10 000 logements neufs par an.

 

Revue de Presse :


Dans son édition du 10 avril 2011, le journal ToulEco explique que la ville de TOULOUSE souhaite construire dix milles logements neufs par an… un vrai besoin dans la ville rose où le nombre d’appartements qualitatifs fait défaut.

Pour en savoir plus sur cette politique qui nécessite une densification urbaine et une adaptation constante  à l’évolution des budgets des ménages, dont le pouvoir d’achat baisse, se reporter à l’article du quotidien de l'économie Toulousaine paru le 10 avril 2001.





mardi 15 février 2011

Le marché immobilier toulousain au crible : hausse des prix, difficulté pour se loger, recours fréquent à un chasseur immobilier


Dans son édition du 10 février 2011, ToulEco titre : « Avec +7,7% en 2010, l’immobilier toulousain oublie la crise ».

 

Et de poursuivre cette analyse positive du marché immobilier toulousain de la sorte :

 

« Forte augmentation des ventes, baisse des stocks et hausse des prix en 2010, c’est le tableau de sortie de crise d’une année record pour le marché immobilier toulousain.

 

En 2010, les ventes de logements neufs (6.720) dans l’agglomération toulousaine ont fait un bond de 21%, par rapport à 2009 (5.530). Oubliés les temps de crise et l’année noire 2008 (2.740), le marché de l’immobilier s’est refait une santé, comme dans toutes les grandes métropoles françaises.


En terre toulousaine, il a pu être alimenté par un renforcement très fort des mises en vente.

 

« C’est une année record, constate Alexandra François-Cuxac, présidente de l’Observer de l’immobilier toulousain, qui vient de publier son analyse annuelle des évolutions de la promotion immobilière. C’est le Scellier qui a fait le marché, dans un contexte très favorable pour les taux d’intérêt, toujours très bas. 73% des produits ont été vendus à des investisseurs qui ont profité de l’attractivité de la défiscalisation. Dès cette année, en effet, l’investissement Scellier va changer de nature et sera de moins en moins porteur. »

 

Offre commerciale très faible et prix forts

 

Conséquence, une offre commerciale devenue très faible et qui représente à peine 4 mois de stock. « Le rythme de vente est particulièrement élevé puisqu’il faut moins de 9 mois pour commercialiser une opération », précise la présidente de l’Observer. Autre conséquence d’un marché aussi dynamique, l’inévitable poussée des prix en hausse de 7,7% en un an. Le prix moyen dans la métropole s’affiche à 3.210 euros le mètre carré. Une progression supérieure à la moyenne nationale (6,5%) et bien plus forte que celle de la province (3,9%).


« L’agglomération toulousaine reste cependant à un niveau de prix inférieur à de nombreux grands pôles urbains. Nous occupons la 8ème position derrière nos voisines comme Montpellier (3.591 euros le mètre carré) ou Bordeaux (3.260). Comptez, en moyenne, 116.559 euros pour un studio, 146.336 euros pour un deux pièces, 195.530 euros pour un trois pièces, 248.793 euros pour un quatre pièces et 339.792 euros pour un cinq pièces (hors parking, TVA à 19,6%).

 

Au top des ventes, les T2 et les T3, surtout quand ils sont dans Toulouse ou en première couronne. A noter également, la forte hausse de l’accession à la propriété grâce aux dispositifs de soutien en TVA à 5,5% (+67,8%).

 

Risque de pénurie ?

 

Des prix qui sont alourdis par les normes Bâtiments basse consommation (BBC), obligatoires dès 2012 et qui impactent le coût final à hauteur de 5% environ. « Nous avons réussi à digérer ce surcoût sans freiner l’activité, explique Alexandra François-Cuxac, mais c’est en 2011, quand nous bâtirons uniquement en BBC que nous pourrons apprécier l’impact réel. »

 

« Avec un foncier rare et cher et une offre qui ne sera pas assez renouvelée, Toulouse pourrait connaître une certaine pénurie en 2011 », s’inquiète l’Observer. Le besoin de logements neufs reste très important et les programmes lancés sont déjà commercialisés. Et nombre de nouvelles opérations (Borderouge, Monges, Andromède, Balma ou Saint-Orens) ne verront leurs premières livraisons qu’en 2012 ».


Au-delà des chiffres, c’est ce dernier point - une certaine pénurie de l’offre - qui s’avère être la réalité du marché immobilier toulousain et, de fait, des prix élevés pour les biens qualitatifs, synonyme d’une difficulté pour se loger en centre ville.

L’année 2010 en a été le symptôme… l’année 2011 semble corroborer cet état de fait.

Ce qui explique le recours de plus en plus fréquent, pour les personnes qui n’ont pas le temps de chercher leur futur appartement ou maison, à un chasseur immobilier (ou chasseur d’appartement) qui se consacre, pour eux, aux recherches fastidieuses, les conseille et négocie au mieux leurs intérêts.

De par son ancienneté et son expérience très forte du marché toulousain, l’équipe de chasseurs immobiliers de la Société DOMICILIUM, satisfait toujours plus d’acquéreurs.

Pour plus d'informations sur cette Société pionnière en matière de recherche de biens immobiliers, voir son site http://www.domicilium.fr

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