Toulouse Immobilier

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mardi 14 juin 2011

La colocation a le vent à poupe à TOULOUSE – locataires et bailleurs s’y retrouvent !


Revue de presse :


Présentant une étude réalisée par l’Union des syndicats de l’immobilier en Midi-Pyrénées (Unis), le Journal ToulEco met en perspective le choix, de plus en plus fréquent, de la colocation à Toulouse.

La crise économique et la difficulté d’assumer seul un loyer, des emplois de plus en plus précaires expliquent cette tendance. Au-delà, le nombre toujours plus grand de familles monoparentales d’une part (évolution des mœurs très marquée dans les grandes agglomérations comme Toulouse) et le regard nouveaux porté par les bailleurs sur ce moyen de ce garantir plus aisément des revenus locatif d’autre part (les risques d’impayés sont moins grand) favorisent également la colocation.

De fait, les appartements T3 et T4 sont beaucoup plus recherchés par les locataires que par le passé… mais aussi par les investisseurs qui voient là un moyen de diversifier leur patrimoine tout en obtenant des rentabilités, a minima, aussi intéressantes qu’avec de la location de studio, de T1 ou T2.

L'analyse est consultable dans l'édition du quotidien de l’économie toulousaine en date du 13 juin 2011.


mardi 11 janvier 2011

Sud-Ouest : Toulouse une ville en pleine expension - dynamisme économique, nouveaux arrivants, étudiants plus nombreux, dévelopement des transports en commun


Revue de Presse :

 

Dans son édition du 10 janvier 2011, le journal Sud-Ouest dresse un bilan élogieux de la ville rose en termes de dynamisme économique, synonyme entre autre de d’un nombre record en France de nouveaux arrivants.

 

« La croissance en tache d'huile de la Ville rose.

La Communauté urbaine compte désormais 37 communes. Sa population pourrait bientôt dépasser celle de l'agglomération bordelaise.

Douze nouvelles communes ont intégré la Communauté urbaine de Toulouse au 1er janvier. La nouvelle entité, aussi appelée Grand Toulouse et présidée par le député-maire de la Ville rose, Pierre Cohen (PS), compte donc 703 386 habitants, répartis sur 37 communes, et s'étend un peu plus au nord et à l'est de Toulouse.

Depuis vingt ans, 7 000 nouveaux habitants arrivent chaque année à Toulouse, un chiffre record en France, selon l'Insee. La Ville rose arrive juste derrière Paris, qui accueille 8 000 habitants de plus par an. La réputation de bonne qualité de vie de la Ville rose, reposant sur son climat, sa convivialité, et son urbanisme, y est sans nul doute pour quelque chose.

La Communauté urbaine, quant à elle, grossit chaque année de 15 000 habitants. Elle pourrait donc rapidement dépasser la Communauté urbaine de Bordeaux et prendre, avec la réforme territoriale, le statut de métropole.

Attractivité économique:

Son pôle universitaire de 100 000 étudiants, renforcé par le plan Campus lancé par la Région, explique en partie le fait que 65 % des nouveaux arrivants aient moins de 30 ans.

La Communauté urbaine de Toulouse attire les jeunes actifs grâce à ses nombreux bassins d'emplois, en particulier dans les domaines de l'aéronautique, du spatial, de la santé et de l'agriculture. La naissance l'année dernière au sud-est de Toulouse du Cancéropôle, premier centre européen de recherche et de soins sur le cancer, et l'extension de Sanofi-Aventis ont généré plus de 1000 emplois.

Citons aussi le projet de Montaudran Aérospace, futur grand site européen dédié à l'aéronautique et à l'espace, ou encore la construction de plusieurs ZAC, comme à Balma-Gramont, ou aux Ramassiers. Les projets immobiliers fleurissent, par exemple dans l'ancien quartier d'AZF, en pleine reconstruction.

La croissance exponentielle de l'agglomération toulousaine s'accompagne du développement des transports en commun, retenu comme priorité de son budget 2011.

Après la ligne de tramway inaugurée en décembre dernier, qui dessert le nord de l'agglomération, deux autres lignes verront le jour d'ici à 2012, l'une desservant l'aéroport, l'autre le futur quartier des sciences en centre-ville ».

 

En matière de marché immobilier, de recherche immobilière, le corolaire à ce dynamisme économique, à cette arrivée chaque année de nouveaux habitants, à des étudiants en nombre croissant est le manque de logements.


Les projets immobiliers existent, mais la difficulté (en matière d’achat ou de location) à trouver un appartement ou une maison est une réalité quotidienne pour les acquéreurs ou locataires.

 

Ce qui explique le succès du recours des toulousains ou néo toulousains à un chasseur immobilier (ou chasseur d'appartement ou coach immobilier) pour acquérir leur bien immobilier (celui-ci s’occupant intégralement de la recherche de bien, négociant au mieux les prix) et aux propriétaires vendeurs (pas assez nombreux) le recours à des Société de Home Staging pour valoriser leur appartement ou maison au moment de la vente.


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mercredi 29 décembre 2010

Investir dans l’immobilier : la solution du viager


Pour les investisseurs qui n’ont pas le souci, en règle générale, de vivre dans le logement qu’ils acquièrent, le viager peut s’avérer être une solution alternative aux investissements classiques de type studio (pour de la location à des étudiants), appartement T2, T3 ou T4, voire maison (pour de la colocation ou de la location classique à des salariés).

A ce sujet, voici quelques informations générales sur le viager (signifiant temps de vie en vieux français) qui constitue une variante de la vente immobilière.

L'acquéreur (nommé en droit le débirentier) verse périodiquement au vendeur (dénommé le crédirentier) une partie du prix sous forme de rente pendant toute la durée de la vie du vendeur en échange de la nue-propriété, à savoir le droit de disposer du bien à sa guise (et éventuellement de le modifier ou de le détruire) ; le vendeur conservant, le plus souvent, la jouissance du bien immobilier.

Le débirentier (le débiteur de la rente : voir infra) devient ainsi nu-propriétaire du bien vendu en viager et en aura la pleine propriété à la mort du crédirentier, et de son conjoint si la rente est réversible.

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Dans les faits, ce sont souvent des personnes d’un certain âge, à la retraite, qui vendent en viager leur appartement ou maison afin d’obtenir un complément de revenus, tout en conservant le droit de rester vivre dans le bien immobilier mis en vente (l’avenir incertain en matière de retraite, la nécessité de compléter celle-ci explique que des propriétaires recourent à la procédure du viager).

Le prix de la vente dépend donc de la durée de vie du vendeur à partir du moment de la conclusion du contrat. Cette durée, inconnue lors de la conclusion, constitue un aléa (c’est le risque à prendre pour l’investisseur) qui, du reste, s’avère une condition de validité du contrat signé entre les parties.

Lorsque ce contrat de vente intervient (il est rédigé par un notaire puisqu’il s’agit d’une vente immobilière ; voir le site des Notaires de France pour trouver un notaire) le bien immobilier devient la propriété de l'acheteur.

Concrètement, l’achat en viager peut être payé de plusieurs façons : sous forme de bouquet et/ou de rente.

Fréquemment, un bouquet est versé par l’acquéreur au vendeur ; il s’agit d’un montant payé comptant, librement déterminé entre les deux parties.

Parallèlement, une rente est souvent aussi allouée au vendeur. Son montant (acquitté mensuellement, trimestriellement ou annuellement), là encore, est fixé librement entre les parties en fonction de la valeur du bien, de l'âge du crédirentier, de son espérance de vie, etc.

De façon générale, la valeur du logement tient compte de la situation du crédirentier par rapport au logement :

- un viager libre sera plus cher qu'un viager occupé : dans cette hypothèse, la valeur de l'immeuble tient compte des prix pratiqués sur le marché immobilier,

- dans le cadre d'un viager occupé, l'acquéreur ne dispose pas du droit d'habitation. Il n'est que le nu-propriétaire, l'usufruitier (le vendeur) conservant le droit d'habiter.

Les barèmes sont libres mais pour définir le taux de la rente, les tarifs établis par les compagnies d'assurance, la caisse nationale de prévoyance et les notaires sont utiles.

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Quelques précisions :

Celui qui décide de recourir au viager (le crédirentier) ne doit pas être atteint d'une maladie susceptible d’entraîner la mort. S’il décède dans les 20 jours suivant la signature du contrat de vente, celle-ci est annulée.

La rente peut être assise sur une tête ou bien réversible sur une deuxième tête (conjoint, généralement). Dans ce cas, au décès du premier époux, l'acquéreur continuera à payer la rente au second époux.

L'acheteur peut, quant à lui, être une personne physique ou morale (société).

Des garanties financières lui seront généralement demandées (caution ou hypothèque) afin de s'assurer qu'il peut payer régulièrement la rente. La sécurité du paiement des rentes fait, en effet, l’objet de clauses spécifiques dans le contrat.

Le contrat de vente peut contenir des clauses résolutoires en cas de non-paiement : vente annulée, partie des rentes payées gardée par le vendeur en indemnités.

En matière fiscale,les rentes viagères sont soumises à l'impôt dans la catégorie des traitements, salaires et pensions. Seule la fraction correspondant aux intérêts du capital est imposable.

Cette fraction, variant selon l'âge du crédirentier (le vendeur) au moment où il touche la rente, est fixée à :

- 70% si le crédirentier est âgé de moins de 50 ans,

- 50% s'il est âgé de 50 à 59 ans inclus,

- 40% s'il est âgé de 60 à 69 ans inclus,

- 30% s'il est âgé de plus de 69 ans.

Pour les ménages, c’est l'âge de la personne la plus âgée qui sera retenue, y compris après son décès.

Pour plus de précisions, se reporter, notamment, aux articles 1968 et suivants du Code Civil.

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Comment acheter en viager ?

Comme pour toute acquisition immobilière (résidence principale ou résidence secondaire, logement traditionnel ou immobilier de standing) ou les services et conseils d’un chasseur immobilier sont de plus en plus utiles et, de fait, prisés, pour les investisseurs à la recherche d’un appartement ou d’une maison via le viager, recourir à un chasseur immobilier (dénommé également chasseur d’appartement, chasseur de biens, coach immobilier, etc.) permet également de trouver le bon produit, de sécuriser l’achat et, ce faisant, l’investissement envisagé.


mardi 2 novembre 2010

Bail loi de 1948 - augmentation du prix de base au mètre carré des locaux d'habitation ou à usage professionnel

 

Bail Loi de 48

 

Principe

La location des logements soumis à la loi de 1948 ne fait pas l'objet d'un contrat écrit. La location peut donc être verbale.

Lorsqu'un contrat de location est établi par écrit, son contenu n'est pas réglementé de façon stricte.

Durée du bail

La durée de la location est indéterminée.

Le locataire d'un logement soumis à la loi de 1948 qui remplit ses obligations (paiement du loyer et des charges), bénéficie d'un droit au maintien dans le logement sans limitation de durée.

La location se renouvelle automatiquement lorsque le locataire habite :

·         un logement classé III ou IV,

·         ou un logement classé IIB ou IIC, et que ses ressources et celles des autres occupants sont inférieures au taux d'augmentation du loyer fixé chaque année.

Droit de reprise du logement

Le propriétaire peut donner congé au locataire :

·         pour occuper lui-même le logement,

·         pour y loger son conjoint, la personne avec qui il est lié par un pacte civil de solidarité (PACS), ses ascendants ou descendants,

·         pour y faire des travaux.

le droit de reprise ne peut être exercé au profit d'un bénéficiaire âgé de moins de 65 ans contre l'occupant dont les ressources annuelles sont inférieures à une fois et demie le montant annuel du SMIC, calculé sur la base de la durée légale du travail, qui, à la date du congé, est âgé de plus de 70 ans et occupe effectivement les lieux. Pour le calcul des ressources de l'occupant, il est tenu compte de celles des personnes vivant habituellement avec lui.

Condition de relogement

En cas de reprise, le propriétaire doit proposer au locataire un logement équivalent.

Il en est toutefois dispensé lorsque :

·         le logement a été acheté depuis au moins 10 ans à la date de reprise du logement,

·         ou acheté depuis 4 ans et que le propriétaire est autorisé, par une décision de justice,  à y habiter ou à installer un ayant-droit,

·         et lorsqu'il justifie qu'il ne dispose pas d'une habitation correspondant à ses besoins normaux et à ceux des membres de sa famille vivant habituellement avec lui.

Modalités du droit de reprise

Le bailleur doit signifier au locataire son intention de reprendre le logement par lettre recommandée avec accusé de réception ou par acte d'huissier.

Le congé pour reprise doit être donné avec un préavis de 6 mois avant le terme du contrat.

Pour être valable, il doit contenir le motif ainsi que le nom et l'adresse du bénéficiaire de la reprise.

Fin du bail

Lorsque les ressources du locataire et celles des autres occupants deviennent supérieures au taux d'augmentation du loyer fixé chaque année, le bailleur peut proposer, à tout moment, un bail de sortie par acte d'huissier ou lettre recommandée avec accusé de réception. Le nouveau contrat de location proposé est d'une durée de 8 ans avec un loyer fixé par référence aux loyers habituellement constatés dans le voisinage pour des logements comparables.

 

 

 

Fixation du loyer  -  Augmentation  -  Loi de 1948

 

Le décret n° 2010-1097 du 20 septembre 2010 modifie le décret n° 48-1881 du 10 décembre 1948 déterminant les prix de base au mètre carré des locaux d'habitation ou à usage professionnel

  

  

Art. 1er - L'article 4 du décret du 10 décembre 1948 visé est remplacé par les dispositions suivantes:

 

«Art. 4. - A compter du 1er juillet 2010 et jusqu'à ce qu'ils atteignent la valeur locative définie à l'article 5 ci-dessous, les loyers de la période précédente, modifiés, s'il y a lieu, conformément aux dispositions du dernier alinéa de l'article 31 de la loi n° 48-1360 du 1er septembre 1948, peuvent être augmentés au maximum:

 

de 2 % pour les locaux des catégories III A et III B, pour les locaux des catégories II B et II C et pour les locaux de la catégorie II A restant soumis aux dispositions de la loi du 1er septembre 1948 précitée, en application de l’article 2 du décret n° 75-803 du 26 août 1975 ;

 

Les loyers des locaux de la catégorie IV ne subissent aucune majoration annuelle légale de loyer.

 

Pour les calculs résultant des dispositions de l'article 1er, chacune des opérations est conduite jusqu'à la deuxième décimale.».

 

Art. 2. - L'article 5 du décret du 10 décembre 1948 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes:

 

«Art. 5. – A compter du 1er juillet 2010, le prix de base de la valeur locative mensuelle des locaux d'habitation ou à usage professionnel est fixé conformément au tableau ci-après:

  

 

VALEUR LOCATIVE MENSUELLE EN EUROS

CATÉGORIE

Agglomération parisienne

Hors agglomération parisienne

 

Prix de base de chacun des dix premiers mètres carrés de surface corrigée

Prix de base des mètres carrés suivants

Prix de base de chacun des dix premiers mètres carrés de surface corrigée

Prix de base des mètres carrés suivants

II A......

11,29

6,70

9,23

5,49

II B......

7,77

4,20

6,36

3,45

II C......

5,94

3,18

4,86

2,62

III A.....

3,60

1,94

2,95

1,63

III B.....

2,15

1,11

1,75

0,91

IV......

0,26

0,12

0,26

0,12

  

La liste des communes situées dans le périmètre de l’agglomération parisienne figure à l’annexe au présent décret »

 

Art. 3. - L'article 7 du décret du 10 décembre 1948 susvisé est remplacé par les dispositions suivantes:

 

« Art. 7. - Le taux de majoration prévu par l'article 34 de la loi n° 48-1360 du 1er septembre 1948 et applicable aux loyers payés pendant la période précédente est fixé à 2 % à compter du 1er juillet 2010.»  

 

ANNEXE ÉTABLISSANT LA LISTE DES COMMUNES SITUÉES DANS LE PÉRIMÈTRE DE L’AGGLOMÉRATION PARISIENNE (ARTICLE 5 DU DÉCRET N° 48-1881 DU 10 DÉCEMBRE 1948)

 

  

La ville de Paris.

 

L'ensemble des communes des départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne.

 

Dans le département de Seine-et-Marne, les communes suivantes : 

Boissettes, Boissise-le-Roi, Brou-sur-Chantereine, Bussy-Saint-Georges, Bussy-Saint-Martin, Carnetin, Cesson, Chalifert, Champs-sur-Marne, Chanteloup-en-Brie, Chelles, Chessy, Collégien, Combs-la-Ville, Conches-sur-Gondoire, Courtry, Croissy-Beaubourg, Dammarie-les-Lys, Dampmart, Emerainville, Gouvernes, Guermantes, Lagny-sur-Marne, Lésigny, Livry-sur-Seine, Lognes, Le Mée-sur-Seine, Melun, Mitry-Mory, Montévrain, Nandy, Noisiel, Pomponne, Pontault-Combault, Pringy, La Rochette, Roissy-en-Brie, Rubelles, Saint-Fargeau-Ponthierry, Saint-Thibault-des-Vignes, Savigny-le-Temple, Servon, Thorigny-sur-Marne, Torcy, Vaires-sur-Marne, Vaux-le-Pénil, Vert-Saint-Denis, Villeparisis.


Dans le département des Yvelines, les communes suivantes :
Achères, Aigremont, Andrésy, Bazoches-sur-Guyonne, Bois-d'Arcy, Bougival, Buc, Buchelay, Carrières-sous-Poissy, Carrières-sur-Seine, La Celle-Saint-Cloud, Chambourcy, Chanteloup-les-Vignes, Chapet, Chatou, Le Chesnay, Chevreuse, Les Clayes-sous-Bois, Coignières, Conflans-Sainte-Honorine, Croissy-sur-Seine, Elancourt, L'Etang-la-Ville, Evecquemont, Follainville-Dennemont, Fontenay-le-Fleury, Fourqueux, Gaillon-sur-Montcient, Gargenville, Guyancourt, Hardricourt, Houilles, Issou, Jouars-Pontchartrain, Jouy-en-Josas, Juziers, Limay, Les Loges-en-Josas, Louveciennes, Magnanville, Magny-les-Hameaux, Maisons-Laffitte, Mantes-la-Jolie, Mantes-la-Ville, Mareil-Marly, Marly-le-Roi, Maurecourt, Maurepas, Médan, Le Mesnil-le-Roi, Le Mesnil-Saint-Denis, Meulan, Mézy-sur-Seine, Montesson, Montigny-le-Bretonneux, Les Mureaux, Neauphle-le-Château, Neauphle-le-Vieux, Orgeval, Le Pecq, Plaisir, Poissy, Porcheville, Le Port-Marly, Rocquencourt, Saint-Cyr-l'Ecole, Saint-Germain-en-Laye, Saint-Rémy-lès-Chevreuse, Saint-Rémy-l'Honoré, Sartrouville, Trappes, Le Tremblay-sur-Mauldre, Triel-sur-Seine, Vaux-sur-Seine, Vélizy-Villacoublay, Verneuil-sur-Seine, Vernouillet, La Verrière, Versailles, Le Vésinet, Villennes-sur-Seine, Villepreux, Villiers-Saint-Fréderic, Viroflay, Voisins-le-Bretonneux.


Dans le département de l'Essonne, les communes suivantes :
Arpajon, Athis-Mons, Ballainvilliers, Bièvres, Boissy-sous-Saint-Yon, Bondoufle, Boussy-Saint-Antoine, Brétigny-sur-Orge, Breuillet, Breux-Jouy, Brunoy, Bruyères-le-Châtel, Bures-sur-Yvette, Champlan, Chilly-Mazarin, Corbeil-Essonnes, Le Coudray-Montceaux, Courcouronnes, Crosne, Draveil, Egly, Epinay-sous-Sénart, Epinay-sur-Orge, Etiolles, Evry, Fleury-Mérogis, Fontenay-le-Vicomte, Gif-sur-Yvette, Gometz-le-Châtel, Grigny, Igny, Juvisy-sur-Orge, Leuville-sur-Orge, Linas, Lisses, Longjumeau, Longpont-sur-Orge, Marcoussis, Massy, Mennecy, Montgeron, Montlhéry, Morangis, Morsang-sur-Orge, Morsang-sur-Seine, La Norville, Ollainville, Ormoy, Orsay, Palaiseau, Paray-Vieille-Poste, Le Plessis-Pâté, Quincy-sous-Sénart, Ris-Orangis, Saclay, Sainte-Geneviève-des-Bois, Saint-Germain-lès-Arpajon, Saint-Germain-lès-Corbeil, Saint-Michel-sur-Orge, Saint-Pierre-du-Perray, Saintry-sur-Seine, Saint-Yon, Saulx-les-Chartreux, Savigny-sur-Orge, Soisy-sur-Seine, Varennes-Jarcy, Vauhallan, Verrières-le-Buisson, Vigneux-sur-Seine, Villabé, Villebon-sur-Yvette, La Ville-du-Bois, Villemoisson-sur-Orge, Villiers-sur-Orge, Viry-Châtillon, Wissous, Yerres, Les Ulis.


Dans le département du Val-d'Oise, les communes suivantes :
Andilly, Argenteuil, Arnouville-lès-Gonesse, Auvers-sur-Oise, Beauchamp, Bessancourt, Bezons, Bonneuil-en-France, Bouffémont, Butry-sur-Oise, Cergy, Champagne-sur-Oise, Cormeilles-en-Parisis, Courdimanche, Deuil-la-Barre, Domont, Eaubonne, Ecouen, Enghien-les-Bains, Eragny, Ermont, Ezanville, Franconville, Frépillon, La Frette-sur-Seine, Garges-lès-Gonesse, Gonesse, Groslay, Herblay, L'Isle-Adam, Jouy-le-Moutier, Margency, Mériel, Méry-sur-Oise, Montigny-lès-Cormeilles, Montlignon, Montmagny, Montmorency, Nesles-la-Vallée, Neuville-sur-Oise, Osny, Parmain, Pierrelaye, Piscop, Le Plessis-Bouchard, Pontoise, Puiseux-Pontoise, Roissy-en-France, Saint-Brice-sous-Forêt, Saint-Gratien, Saint-Leu-la-Forêt, Saint-Ouen-l'Aumône, Saint-Prix, Sannois, Sarcelles, Soisy-sous-Montmorency, Taverny, Valmondois, Vauréal, Villiers-Adam, Villiers-le-Bel.